Entre frère et soeur... [PV Greed]

Je ne sais pas si mes conseils ont été entendu mais en tout cas je remplonge dans sa compta. C'est marrant comme de simples chiffres peuvent apprendre et renseigner sur toute la vie de cet endroit.
Elle colle sa poitrine contre mon dos, et passe ses mains de chaque côtés de mes épaules. Tiens c'est marrant mais maintenant que je fais sa compta elle ne souhaite plus me virer à grand coups.

"Ce dont j'ai besoin, surtout, mon coeur, c'est de finir de remplir ces papiers pour pouvoir imprimer les fiches de paye... Tu sais que tu es un ange de bien vouloir t'en occuper pour moi."

Tiens qu'est ce que je disais, maintenant elle me charme. C'est que je me laisserais presque prendre dans son jeux. Elle est forte mais je le suis encore plus. J'arriverais à résister à ses avances et à finir sa foutu compta. D'ailleurs ses mains viennent suite à ses doigts sur mon torse.
Il faut bien avouer que c'est dure de résister. J'ai qu'une envie poser ce stylo et la mettre fâce à moi. Elle a toujours été sublimes, déjà jeune la moitié des mecs du villages dont moi je l'avoue avions tendance à phantasmer sur son corps. Que ce se soit ma soeur me freinait pas mal. Maintenant ça ne me poserait plus aucun problème, hormis le fait que je ne dois m'abandonner dans son jeu.

Si tu veux que je finisse, il faudrait peut être me laisser faire sans me déranger. Et puis à propos de fiche de paye, tu les paye trop. Une véritable fortune que tu pourrais économiser.

Je me retranche sur le terrain que je connais l'argent et les moyens de le garder. Tant que mes pensées seront sur sa et sur sa compta j'arriverais à résister. Mais étant chez elle ses pouvoirs sont multipliés.

Je déboutonne doucement sa chemise pour pouvoir toucher sa peau alors qu'il tente de se concentrer sur ma compta... Je sais que ma présence ne le dérange pas autant qu'il le prétend... Tant qu'il y a de l'argent entre ses doigts, des chiffres qui défillent, même moi, je ne peux le faire changer d'activité... Mais dés qu'il aura fini, ça sera autre chose... A sa remarque, je sussure à son oreille:

"Pourquoi économiser, j'ai de l'argent, ils font tous du bon boulot, ils méritent leur salaire... Et puis je ne cherche pas à être une rapia comme toi mon coeur."

Je laisse mes mains glisser vers ses tétons que je caresse doucement, les faisant rouler entre mes doigts puis mes ongles se promène sur son torse éffleurant à peine sa peau. J'embrasse toujours doucement son cou. J'ai plus qu'envie de laisser mes mains descendre plus bas, mais si je m'empare de son sexe, il risque d'en oublier ma compta... Ca serait très emetant... C'est moi où il fait exprès d'être lent ?

"Greeeeeeeed... S'il te plait, je suis sûr que tu peux faire ça plus viiiiite..."

Je me fais charme et volupté pour lui... Je suis déjà en train de réflechir à comment je vais l'emmener en haut, mais ca ne sera peut etre pas necessaire, une fois la compta faite, le bureau sera libre...

Je sens chaque parcelle de ses doigts sur mon torse. Elle descend lentement et me caresse la poitrine. Pourquoi faut-il que ce soit Lust. Une autre qu'elle même ma sœur je pourrais me livrer à l'inceste l'esprit en paix. Mais avec elle, si elle obtient ce qu'elle veut, elle possèdera tout mon quartier. Et ça elle ne l'aura pas, c'est ma principale ressource d'argent sur le plan légale et il faut bien avouer que ça met du bon beurre dans les épinards.

Rapia, tous de suite les vilains mots. Je suis juste porté sur l'économie plutôt que sur les dépenses excessives et inutiles.

Elle continue sa descente, ses lèvres se posant lentement dans mon cou. Elle embrasse divinement bien, et ses mains, quelles mains. Si elle continue de descendre de cette façon elle ne sera plus sous ma chemise mais sous mon pantalon. Pas que ça me dérangerait en soit, mais toujours le même problème de pouvoir et d'influence.

Quelle ironie, il y a à peine quelques minutes elle était prête à jeter dehors et maintenant elle fait tout pour que je reste.

"Greeeeeeeed... S'il te plait, je suis sûr que tu peux faire ça plus viiiiite..."

*Oh oui je peux, bien sur, mais forcément si je vais plus vite tu gagne mon ange, et je ne perdrais pas.*

Peut être bien ma chérie mais avec tes mains sur moi et tes lèvres dans mon cou, je suis assez distrait. Et puis la compta n'est pas une chose rapide tu sais il faut prendre son temps si l'on veut bien faire.

*Et puis j'ai besoin de temps pour mémoriser la plupart de tes fournisseurs ma puce, je cèderais peut être ce soir, même surement mais tes fournisseurs souriront moins que toi quand j'aurais repris leurs boutiques. Enfaite tu es un investissement comme un autre ma puce.*

Tout à coup, je me rends compte que quelque chose... Il n'avance pas ! Il le fait exprès ! Je sais comment ca marche la compa mine de rien, c'est moi qui l'ai gérée les fois précédentes !

Je le relache et fait tourner sa chaise pour m'assoire directement sur ses genoux, je l'embrasse à pleine bouche. J'ai eu raison de garder un oeil sur ce qu'il faisait ! Quand je me détache de lui - toujours assise sur ses cuisses tout de même - mon regard est redevenu sérieux:

"Ne me prends pas pour une imbecile, Greed, et je cesserais de te prendre pour un con. Je t'ai (gentillement) demandé de faire ma compta, pas de chercher à faire couler ma boite ! Vu le temps que tu y passes, il est clair que c'est ce que tu cherches. Si c'est comme ça, j'aurais plus vite fait de le faire moi-même et tu auras plus vite fait d'aller sauter ta secrétaire !"

Je me relève et attrape le dossier encore ouvert que je ferme dans un claquement sonore. Je me tourne pour lui faire face:

"Sors de chez moi, Greed, je ne veux plus te voir."

Mon ton est froid, mes sourcils froncés, mais je garde un total contrôle de moi même. D'un geste énervé, je chasse une mèche de cheveux qui passait devant mes yeux.

Elle s'énerve ? Encore une de ses perversions ? Non. Elle a juste compris. Elle a mit le temps, assez pour me laisser celui de mémoriser ses fournisseurs. Si je fais pression sur eux sa boîte coulera et je la rachèterai pour une bouchée de pain. Elle n'en sera pas heureuse et ne voudra surement pas. Mais quand elle verra son dernier employé éteindre la lumière en sortant, elle ne pourra qu'accepter.
Bien sur je lui laisserais le total contrôle de sa boîte. Mais en échange je réclamerais juste le droit à quelques économies. Comme me taper qui je voudrais ici pour rien, à l'œil, à près tout ce serait mon club.
Le moindre petit sou est vital, et la meilleure façon de le conserver est de le garder près de moi. Elle sera ma plus belle œuvre d'art. Une magnifique perle que ne me couterait rien. Quoi de plus beau que le luxe offert à mes pieds. Sans avoir à dépenser.

Trêve de rêverie elle s'assoit sur moi et m'embrasse à pleine bouche. Je savoure ses lèvres délicieuses car je sais que bientôt j'y re-goutterais pour rien ou presque.

Ne me prends pas pour une imbécile, Greed, et je cesserais de te prendre pour un con.

*Ca me parait convenable...mais il aurait peut être fallut y penser plus tôt.*

Je t'ai (gentiment) demandé de faire ma compta, pas de chercher à faire couler ma boite !

*Tu m'as demandé surtout de venir te voir pour un motif X pour mieux m'emmener dans ton lit ma chère Lust...*

Si c'est comme ça, j'aurais plus vite fait de le faire moi-même et tu auras plus vite fait d'aller sauter ta secrétaire !"

Ma secrétaire n'a pas des lèvres aussi délicates à embrasser.
Mais elle au moins ne me coute rien et ne réclame rien d'autre. Elle se contente de son salaire risible en soit et écarte les jambes sans un mot trop heureuse de se faire sauter par le grand directeur.
En ce qui concerne ta compta ... surement je n'ai aucune idée du temps que tu peux y mettre.

Tu ne veux plus me voir ? Tss ne dis pas des choses pareilles, si tu voulais véritablement ne plus me voire tu aurais juste eu à me virer dans la salle en bas, au contraire tu t'es contentée de m'amener seul ici et de me promener tes mains sur moi.
Donc je peux en déduire qu'en fait tu es simplement énervée car tu n'avais pas imaginé que je puisse avoir d'autres motifs que ton corps de rêve pour ma venue. Je suis l'argent, l'argent gravite autour de personne je l'attire. Forcément dans tout ça ces désirs passent au second plan et toi passé au second plan tu ne le permets pas surtout dans ton club si précieux.

Je ne me lève pas du fauteuil, je cherche une cigarette dans le paquet de ma veste. Je la porte à mes lèvres sans en allumer le bout. Elles ont beau être immonde ce sont les moins chères, et j'en suis malheureusement accro. Foutu tabac si je dois dépenser régulièrement la dedans au temps que ce soit le moins possible.

Je sors une boîte d'allumette de la même poche. J'en sors une allumette et la fais tourner entre mes doigts, je fais durer le moment on l'odeur du tabac plane près de mes narines. Bientôt elle sera entièrement consumée et je n'aurais qu'un vague arrière gout amer en bouche. Je finis donc par gratter cette allumette, l'étincelle embrase l'extrémité. Je porte cette flamme jusqu'à ce bâton droit empli de poison qui me coute-je le répète je sais-horriblement cher. J'aspire la première bouffée, et le gout amer empli ma bouche, se dépose sur ma langue.
Ces cigarettes ont décidément un gout exécrable, dommage qu'elle fasse tant de bien en paradoxe à mon corps et à mes nerfs.

Je l'écoute... Pourquoi donc est-ce que je l'écoute ? Ce qu'il dit me blesse à un tel point... et je suis sûre qu'il le sait. Il fait expres. Je ferme les yeux un moment pour reprendre le controle de moi meme. Quand je les rouvre, il a mit une cigarette dans sa bouche et joue avec une alumette. Je soupire.

"Je vais te sembler ridicule mais je suis nostalgique de l'ancien temps, Greed."

Je m'assoie sur le canapé. Oui, l'ancien temps... A cette époque, même si je courrais les hommes et les femmes, il n'y avait que lui qui existait à mes yeux. Même les 5 autres comptaient moins que lui... Mais il ne voyait que l'argent, rien que ça et rien d'autre... Déjà à ce moment j'avait l'impression de ne pas exister à ses yeux... Et j'en avais besoin. Le regard de mon frère valait bien plus que celui de tous les autres... Sauf qu'il a arreté de me regarder... Je ferme mes yeux pour retenir ces perles nacrées que je ne veux pas qu'il voit puis je me redresse et mon regard est redevenu normal:

"Etteinds cette cigarette Greed. Tu sais que je n'aime pas ça."

J'ai envie de le toucher, de le serrer contre moi, de l'embrasser... Je sens ce désir et je me force à le réprimer... Je suis la luxure, le sexe... Pourquoi est-ce que je m'encombre de sentiments ? Lui n'en a aucun. Il compte me réduire à néant, m'humilier, me marcher dessus... Je le sais, je l'ai lu dans ses yeux... Mais je ne lui demanderai pas de m'épargner... Et pas uniquement par l'orgueil, mais ses railleries me blesseraient encore plus. Je m'ettends presque totalement sur le sofa. Me jupe fendue laisse une belle vue sur mes jambes. Je murmure alors:

"Va-t-en Greed. Epargne moi ta visite la prochaine fois que tu t'ennuieras. Je m'en passerais à merveille."

J'ai envie de sexe... J'ai envie de lui, mais dès qu'il aura quitté la piece, j'irais chercher un client et je l'emmenerais en haut...

"Je vais te sembler ridicule mais je suis nostalgique de l'ancien temps, Greed."

Moi aussi enfin presque. L'avantage de maintenant c'est que j'ai plus d'argent qu'avant, et plus j'ai d'argent et plus je suis heureux. Mais il est vrai que l'ancien temps tous uni , c'était très agréable. Surtout l'ancien temps où coucher avec ma tendre soeur ne me coutait pas un centime. D'après les autres elle m'aurait aimé. Bah tant qu'elle ne me coutait rien ça ne me dérangeait pas beaucoup.

Je tire une dernière bouffée de ce poison et l'écrase sur le bureau vu qu'étant le seul à fumer ici evidement elle n'a aucun cendrier.
Je sens que notre entretient touche à sa fin d'ailleurs elle s'étend sur son sofa. Bien sur je ne peut que la regarder, elle est hors de prix mais vu se ce que renferme ses vêtement ça se comprend. Je laisse donc mes yeux remonter le long de ses cuisses jusqu'à la jupe.
Ah l'ancien temps, je l'aurais rejointe après quelques baiser ce serait pardonné.

Bien lust si tu insiste. Ce fut un plaisir de te revoir.

J'étire mes bras et finit par me lever je prend ma veste sur le dossier, l'enfile mais au lieu d'aller directement à la porte j'embrasse ma chère soeur pour passer cet arrière goût amer de nicotine. Ses lèvres sont délicieuses, j'ai envie de m'a llonger sur elle mais j'ai à faire. Aussi je sors par la porte que je referme délicatement.

Je déscend les quelques marches tout en réajustant mes affaires j'arrive dans la grande salle enfumée. J'ai envie de m'allumer ma cigarette à peine consommé. Mais je décide de profiter encore un moment du goût de ses lèvres. C'est délicieux et gratuit autemps en profiter.
Je traverse la salle, je me retourne pour regarder l'escalier. Elle ne m'a pas suivi , qu'est ce que je croyais.

Je réfléchis à mes futurs opérations sur son club tout en poussant la porte et me retrouvant à la lumière du jour.

Je le déteste !

Au moment où la porte se referme derrière lui, je ferme les yeux et mes doigts viennent instinctivement se poser sur mes lèvres qu'il a embrassées... Je n'ai pas réagi à son baiser comme je n'avais pas réagi à son regard... Mais tous ses gestes me blessent.

Il ne me voit pas, il ne me regarde pas... Comme pour tout le reste, quand ses yeux se posent sur moi, c'est de l'argent qu'il voit... De l'argent, toujours de l'argent. Greed est incapable de penser à autre chose. Je soupire alors que des larmes coulent de mes yeux.

Avant... Avant nous étions tous unis, tous complémentaires. Glut mangeais pour sept, Greed économisait pour sept, Anger se battait pour sept, Sloth dormait pour sept, Envy était jaloux pour sept, je baisais pour sept et Pride... Pride... Un éclair de haine traverse mon esprit... Pride était insupportable pour sept...

Je me lève et range mon bureau, range mes affaires, range mes pensées. Greed est parti. C'est le mieux. J'ai du travail maintenant.

Je quitte ce lieu, mon antre, et rejoint la salle par la grande porte... Je veux dire, par les loges puis la scène. Ma soirée sera comme les précédentes: danse sensuelle sur scène et fin de soirée avec un homme riche dans les étages... Et demain ça recommencera...

Etrangement, je ne veux pas que tout cela cesse.

[Fin du topic]

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