Entre frère et soeur... [PV Greed]

Pussy Liquor. Fin du mois.

Le dossier de compta trône, ouvert, sur mon bureau... et je soupire profondément... Je me laisse aller dans mon fauteuil moelleux et mes yeux se posent sur une tenture représentant une geisha. J'aime cette image, j'aime son regard sur moi, la femme est très belle, sensuelle, excitante...

On frappe à la porte. Je sursaute. Doucement, je me redresse sur mon fauteuil, cambrant naturellement mon dos en posant un coude sur la table.

"Entrez !"

Ma voix est ferme, autoritaire. La poignée tourne et un homme entre. Il s'incline devant moi.

"Mademoiselle Lust, pardonnez moi de vous déranger, un client vous demande en salle."

"J'arrive tout de suite."

L'homme se retire. Je soupire. Allez, Lust, au boulot ! Je referme le dossier et le range dans un tiroir du bureau. Je me lève et me dirige lentement vers la salle principale. Bien sûr, je passe par ma loge pour être présentable puis je fais mon entrée sur scène.

J'arrive au milieu d'un show et le public applaudit. Je me glisse vers les danseuses et me colle à l'une d'elles. Je suis dans son dos, elle se frote contre moi alors que mes mains passent sur son ventre. Sa tête bascule en arrière se vient se poser sur mon épaule et elle se déhanche de manière à m'exciter encore plus... Doucement, j'ouvre sa robe et celle-ci glisse jusqu'au sol. J'entends presque la salle qui retient son souffle alors que mes mains viennent errer sur sa poitrine.

Je repère enfin mon client... J'aurais du m'en douter... Son regard plane sur moi comme une caresse érotique. J'abandonne les danseuses et quitte la scène. Je me faufile entre les tables laissant mes doigts glisser dessus, mes hanches ondulent, faisant voler ma robe autour de moi. En arrivant à sa table, je pose mes mains à plat et me penche vers lui, lui offrant une vue plongeante dans mon décolté. Je pose sensuellement mes lèvres sur les siennes. Regarder comme je l'aime ! Voyez tous comme je m'entends bien avec le plus grand PDG de la ville !

"Bonsoir, Greed. Tu es venu faire ma compta ?"

Mon regard est plus que clair et il veut dire: Qu'est-ce que tu fous chez moi ?

Je m'ennuyais ferme chez moi où à mon bureau. Toute les affaires se passaient pour le mieux et l'argent rentrait à flot dans mes comptes.
Aussi je décidais d'aller donner une petite visite à ma chere soeur Lust. Le pussy Liquor était connu de toute la ville malgré ses plaisirs interdits.
Je décidais de m'y rendre absolument pas incognito. Bien que je rechigne à user d'une limousine qui conviendrait mieux à Pride, j'y vais dans une voiture de sport flambant neuve.
Elle est cabriolée je sens donc le vent dans mes cheveux. Je m'allume une cigarette et roule vers le club.

Arrivé devant celui ci je laisse ma voiture aux voituriers avec un très mince pourboire. Bien sur il fait une moue boudeuse et rumine sa fureure, pardessus il n'a pas intérêt pas son ennervement à réayer ma voiture elle m'a couté très chere et je ne supporterais pas voir tant d'argent jetté par les fenêtres. Je passe bien évidement devant les quelques personnes faisant la queue à l'entrée. Malgré ce qu'on pourrait penser elle a su transformer un minable bordel en un paradis terrestre réputé à travers la ville.

Je m'installe à l'une des tables et regarde les danseuses ondulées sur la musique. Pour un homme comme les autres elle pourrait donner des envies mais pour moi qui ait vécu avec Lust toute mon enfance ce domaine me procure plus rien simplement à sa vue.
Je bois un verre toujours à ma table mais continue de m'ennuyer.

J'envoie un garçon chercher ma tendre soeur elle saura me divertir au moins. Il n'ose pas trop mais après lui avoir révéler mon nom et lui avoir dit que Lust et moi nous connaissions très intimement il courrut la voir.
Quelques minutes plus tard je la voie débarquer au milieu du show. J'applaudis en choeur avec le reste du public. Elle au moins sait bouger. Elle se colle aux danseuses et particulièrment à l'un d'elle. Toute la salle regarde la robe entrain de tomber mais je me contente du regard de ma chere soeur au moment où elle m'apperçoit.

Elle vient donc vers moi bougeant comme une deesse. Les danseuses ont un magnifique corps lorsqu'elle l'agite sur scène mais elle est au naturel comme celà. Rien que de l'avoir pourrait donner des frissons de désirs. Elle s'approche de moi se penche et me laisse admirer sa plastique parfaite avant de m'embrasser. Pourquoi ça ne m'etonne guère? Elle et son sens du spectacle.

"Bonsoir, Greed. Tu es venu faire ma compta ?"

Son regard me jette dehors presque. Mais j'aime quand elle a ce regard empli de haine.

"En quelques sortes. Je me demandais si tu n'étais toujours pas prête à vendre ton etablissement ? "

Mon regard se posait sur son corps comme les regards des spectateurs à notre rencontre. Leurs airs ébahis m'amuse. Ils sont là à s'etonner que la divine gerrante de ce paradis ait quelqun dans sa vie. De plus le plus grand pdg de la ville.

Ma question n'est pas totalement fausse. Mais lui révéler que je suis venus ici parceque je n'avais strictement rien d'autre à faire ne me plaisait absolument pas.

J'empeche de justesse mes sourcils de se froncer et lui offre mon plus beau sourire.

"Dans tes rêves, mon chéri."

Ma voix est suave, sensuelle... Mais je sais qu'il lit parfaitement entre les lignes. J'incline doucement la tête comme si j'essayais de le séduire... Quelle ironie !

Je remarque les regards des clients... Comme d'habitude, à la seconde où je rentre dans la salle, ils n'ont d'yeux que pour moi. Derrière moi, le show se termine et les danceuses rejoignent la coulisse. Bientôt, sur scène, ce seront des hommes... Les femmes présentent attendent ça avec impatience et pour éviter de faire fuir la clientèle masculine, les hotesses viennent se mêler à eux... Toutes plus aguicheuses les unes que les autres.

Je remarque un homme qui se dirige vers la sortie. Je le fixe intensément. Je pénètre son esprit et le fais s'arrêter momentanément... Puis je commence la persuasion:

"Restes donc beau mâle, viens apprecier la beauté du corps masculin, profites du spectacle, joues avec nos danseuses et nos hotesses... Offres toi une nuit de rêves au Pussy Liquor... Abandonnes toi dans les bras de la luxure."

Il se tourne et reviens s'assoir à une table, un sourire gourmand illuminant son visage. Je fais un signe discret à l'une des filles qui, aussitôt va lui tenir compagnie.

Je retourne mon attention vers mon frère et rends mon regard encore plus perçant avant de lui sussurer:

"Je peux m'assoir à ta table,si tu veux, ou peut-être préfèrerais tu me voir en privé... a moins que tu n'aies un rendez-vous important..."

Oui, qu'il parte donc, sa simple présence nuit à mon etablissement.

Je m'allume une cigarette et sourit.

"Dommage, mon ange. "

Elle me parle de manière suave et sensuelle. Quelle bonne blague. Elle ma hait du plus profond de son être et doit être obliger de faire semblant d'être ma duclinée.

Le show laisse doucement place à celui des hommes, dommage je préfère largement de jolies jeunes filles avec quasiment rien sur le dos que des hommes dans le même état. Le balet des hôtesse commence elles circulent entre les tables, sans ordre apparent. Faudrait qu'elle passe différement. Elle perde du temps, et le temps c'est de l'argent.
Le tour de persuasion de ma tendre soeur ne m'est pas invisible. J'aimerais bien convaincre ce gentil monsieur de rester près de ses sous et de rien garder mais la luxure est vraiment trop importante ici.

"Je peux m'assoir à ta table,si tu veux, ou peut-être préfèrerais tu me voir en privé... a moins que tu n'aies un rendez-vous important..."

Non c'est bon tu peut t'asseoir à ma table. Après tout je ne peut rien refuser à la gerante du club le plus populaire de la ville. Ton publique nous regarde tu ne voudrais pas le décevoir tout de même.

Je m'assois donc près de lui en souriant toujours de mon air charmeur... Je n'ai pas vraiment besoin de me forcer, c'est naturel chez moi et puis... c'est mon metier.

Je me penche sensuellement à son oreille, certains clients ne font que me fixer oubliant ce qui les entoure, je dois aussi leur en donner pour leur argent...

"Tu es sûr que ton porte monnaie va accepter que tu te paies la câtin la plus chère de la ville ?"

Je pose un doux baiser sur sa joue, moqueuse. S'il croit que je vais l'inviter il se trompe. Pour avoir ma compagnie, il faut payer. Même lui... Surtout lui. Je prends son verre sans hésitation et trempe mes lèvres dedans puis, visiblement pas satisfaite, je fais un signe à un serveur qui se précipite vers moi:

"Apporte nous une bouteille de notre meilleur champagne, mon client ne supporte pas la qualité moyenne."

Puis je me tourne de nouveau vers lui et plonge mes yeux dans les siens. Tu vas payer d'être venu ici... Au sens propre et au sens figuré !

Elle vient donc s'asseoir à côté de moi. Elle se penche à mon oreille et je prend une bouffée de ma cigarette. Le vieux coups du miliardaire et de la prostitué de luxe rien de tel pour alimenter les rumeurs.

"Tu es sûr que ton porte monnaie va accepter que tu te paies la câtin la plus chère de la ville ?"

Je détourne les yeux de la foule vers elle au mot porte-monaie. Je retire une bouffée sur ma cigarette et la regarde en détail. Je l'étudie sous toute les coutures retire sur ma cigarette et lui répond.

Oh oui il pourrait. Même plusieurs fois par jours si je le voulais. Mais pour ça il faudrait que ce que j'ai à voir en vaille le prix.

Un à un, balle au centre. Elle veut m'attaquer sur mon argent je l'attaque sur son physique. C'est de bonne guerre, quand on était les septs réunis ça n'arrettait pas. Elle prend mon verre y trempe les lèvres et appelle un garçon.

"Apporte nous une bouteille de notre meilleur champagne, mon client ne supporte pas la qualité moyenne."

La garce. Elle m'en veut beaucoup d'être là. Mais ce serait lui donner trop de plaisir que de refuser. Ca me fait mal mais je suis obligé d'accepter. Parcontre je m'attend au pire sur la dites qualité.
Je continue de sourire, malgré qu'elle va finir par me faire regretter d'être venu. En plus d'y être sans véritable motif elle me fais dépenser mon argent.

Un jeune femme près de la piste de danse est prêt à donner un peu d'argent au stip-teaser. Je me concentre ça vient moins facilement que chez moi mais j'arrive à pénétrer ses pensées.

<<Pourquoi donner ? Laisse le danser à l'oeil et garde ton argent pour plus tard. Profite de ces billets dans ta main et surtout ne les lui donne pas.>>

La jeune femme se rassoit donc dans un fauteuil et range ses billets au grand désaroi du danseur.

Ca non ! Je ne peux pas le laisser passer. Je prends sa main avec délicatesse et plante mes ongles dans sa paume. Mon regard se fait persant, presque menacant. Je le force à me regarder.

"Tu recommences encore une fois, Greed, et je te mets à la porte, c'est clair ? Ici, tu es chez moi."

Je joue habilement mon rôle. D'un point de vue extérieur, on voit bien que je suis en colère mais ça ressemble à une forme de jalousie, comme si je lui en voulais de regarder ailleurs. Et j'ai prononcé mes mots suffisemment bas pour que personne d'autre ne les entende. Je sais que mes ongles écorchent sa peau mais je ne le lacherais pas tant qu'il ne m'aura pas présenté ses excuses.

Le serveur revient vers moi avec un chapagne d'excelente qualité. Soyons clairs, le Pussy Liquor n'est pas numero un uniquement pour ses danceuses mais aussi pour ses services et je paie assez cher pour que nous ayons les meilleurs vins et champagne de la région. Je ne tolèrerais aucune critique de mon frère. Le jeune homme sert nos deux verres et s'incline devant nous.

"Dois-je vous faire préparer la suite, Mademoiselle Lust ?"

Je jette un oeil à Greed et sourit à mon employé:

"Mon client ne m'a pas encore dit s'il souhaitait plus que ma compagnie à sa table ce soir, mais je crois que ce n'est pas le cas. Je te préviendrais si c'est necessaire."

A-t-il seulement conscience que même ma compagnie est payante ?

Aouch. Elle me plante ses ongles dans la main, c'est qu'elle a de la force la bougresse. Je dois la regarder, et bien regardons là. Elle semble ennervée. Personelment je suis assez fier de moi.

"Tu recommences encore une fois, Greed, et je te mets à la porte, c'est clair ? Ici, tu es chez moi."

Tss et mettre à la porte une des personnes les plus importantes de la ville, mauvais coup de pub. Mais disons que te conaissant je ne veux pas courir le risque je ne recommencerais plus promis.

Ma parole a t-elle une quelquonque valeur ? Je ne pense pas mais si ça peut lui faire plaisir je ne vois pas pourquoi je l'en priverais.
Elle peut même avoir des excuses si ça l'amuse, je ne suis pas Pride. Tant que je ne perd pas d'argent je ne vois pas en quoi ça me dérange.

Je suis désolé.

Le serveur revient enfin je regarde la bouteille pas mal pour un bordel comme le siens. Je ne veux même pas savoir le prix parcontre de sa foutue bouteille. Elle même doit payer une fortune pour payer ces bouteilles. Importées de l'étranger de plus. Le serveur nous serts deux verres.

"Mon client ne m'a pas encore dit s'il souhaitait plus que ma compagnie à sa table ce soir, mais je crois que ce n'est pas le cas. Je te préviendrais si c'est necessaire."

Effectivement j'ai déjà assez donner pour cette bouteille. Et malheureusement je ne pense pas avoir assez pour prétendre avoir plus qu'à ma table la compagnie d'une personne d'une telle importance, ici.

En réalitée j'ai largement assez. Mais je ne vais quand même pas dépenser pour monter dans une chambre avec elle. Hormis le fait que je peut avoir les meilleures prostituées pour quasiment rien, elle reste quand même ma soeur. Et j'avouerais que l'idée de monter avec ma propre soeur refroidit assez mes ardeurs.

Je lève mon verre pour trinquer avec elle. Trinquer à quoi ? Sa reussite ? Certainement pas. Au prix exorbitant de sa bouteille? A la rigueur. De toute manière pour un couple avec autemps de spectateur c'est une tradition qui se respecte.

Je retire délicatement ma main de la sienne. Oups, il y a un peu de sang son l'ongle de mon index. Je le glisse entre mes lèvres et le suce sensuellement. Un homme, sur ma gauche, est figé, bouche ouverte. Je concentre mon esprit sur lui.

**Tu devrais prendre une hotesse, il vaut mieux toucher que regarder.**

Mon regard ne s'est pas directement posé sur l'homme, mais je l'appercois du coin de l'oeil qui fait un signe à une de nos filles. Parfait. Le show masculin se termine, mais il ne quittent pas la scène, des danceuses en tenue plus que légère les rejoingnent... Je n'ai même pas besoin de regarde pour savoir ce qu'il se passe, c'est moi qui ait monté ce spectacle. Les femmes se collent aux hommes et se laissent caresser et dévétir. Dans quelques minutes, elles seront totalement nues.

Je retourne mon attention sur mon client et lui souris doucement puis je glisse ma main dans ses cheveux et vient sussurer à son oreille.

"Ecoute, Greed, si tu n'as rien d'autre à faire, j'ai du boulot moi... Ma compabilité justement, alors je ne te retiens pas."

Mes gestes ont été suivis par plusieurs clients... Ceux qui ne savent pas ce qu'il va bientôt se passer sur scène... Je me rassoie convenablement et pousse doucement mes cheveux en arrière. Ils sont en demi queue ce soir, très éléguants mais mouvants. Je décide que si Greed veut rester, il est de mon devoir de lui faire au moins la conversation... Il paye, je lui dois le service... Alors j'appuie mon visage sur l'une de mes mains pendant que l'autre caresse doucement son bras. Mes yeux sont posés sur lui, ils papillonnent...

"D'ailleurs, je ne te compreds pas. Comment peux tu laisser quelqu'un d'autre toucher à tes comptes ? Tu ne crains pas que de l'argent sorte de tes caisses ? Même moi je fais attention à cela."

Elle a bien plantée ses ongles la bougresse, je saigne maintenant.
J'essuis le sang sur une serviette et je regarde également l'homme qui nous regarde la bouche grande ouverte. J'ai une folle envie qu'il soit proche de son argent mais je me retiens. J'ai déjà des trous dans ma mains et je n'en veux pas d'autres.

Le show commence les femmes viennent rejoindre les hommes. Je regarde ces pauvres gens accolés contre la piste ils dépensent leur argent innutilement, ils devraient l'économiser au lieu de le dépenser à donner des pourboires aux danseurs et danseuses.

Elle devient cajoleuse. Sa main passe dans mes cheveux, elle est assise juste à côté. Elle vient susurer à mon oreille. Même si elle me déteste elle sait être assez douce pour laisser paraître le contraire.

"Ecoute, Greed, si tu n'as rien d'autre à faire, j'ai du boulot moi... Ma compabilité justement, alors je ne te retiens pas."

Je souris. Voilà qu'elle me parle encore d'argent. A croire qu'il n'ya que lorsque je suis là seul l'argent compte ? L'aurais je influancé à mes dépends ?
Elle finit par se coller à moi, ce ne serait pas ma soeur et Lust particulièrement je pense que j'aurais accepter à regret malgré tout de dépenser pour monter avec elle.

"D'ailleurs, je ne te comprends pas. Comment peux tu laisser quelqu'un d'autre toucher à tes comptes ? Tu ne crains pas que de l'argent sorte de tes caisses ? Même moi je fais attention à cela."

Et voilà. Encore et toujours l'argent, les comptes. A croire que je n'ai que ces mots là à la bouche pour qu'elle me les sortent toute deux phrases. Mais bon puisqu'elle est là et qu'elle me fait la conversation je me dois de lui répondre. Après tout ne l'ai je pas appelé ?

Je laisse quelqun d'autre toucher à mes comptes simplement parceque c'est leurs boulots. Et puis mes comptes, mes comptes. Les comptes de la société sont gerrés par des banquier tous avide du moindre sous. Et puis les quelques uns qui se sont essayés m'ont toujours remboursés intégralement mon dû.
Mes comptes personels sont gerrés par mes soins ou bien par des gens digne de confiance. La plupart sont tellment omnubiler à conserver le moindre sous qu'ils rechignent à en dépenser pour me voler.

Je lui souris et penche un peu plus la tête... Le portait même de l'innocente naïve... Quand je pense que je suis avec le seul client qui peut me resister alors qu'il est suffisemment riche pour se payer le luxe de m'avoir dans son lit. Je soupire sensuellement.

"Je vois que tu t'arranges pour avoir le contrôle total des gens avec qui tu travailles... Tu me diras, je fais pareil... Tu vois ces filles sur la scène, quand je les ai rencontrées, certaines étaient timides et pudiques... Mais comment résister à l'appel de la chair... Même toi, tu te retrouves au Pussy Liquor attablé avec moi."

Du bout de mes ongles, je caresse son bras, je me fais seductrice, enjoleuse... Mais je n'ai qu'une envie: qu'il se barre ! Pourquoi est-il venu ici, je me le demande bien. Ce n'est tout de même pas une simple visite de courtoisie. Peut être a-t-il réellement envie d'un peu de sexe... Les hommes, même lui, ont tous une part de luxure en eux... Mais Greed ne peut pas coucher avec moi... Personnellement, je me moque qu'il soit mon frère ou non, mais il est possible que, lui, ça le gène... D'une voix très douce, je lui fais donc une proposition:

"Greed, mon coeur, peut être veux-tu que je te présente notre numero 1. Je l'ai formée moi même, elle est vraiment très douée... Et elle a l'avantage de ne pas être moi... Je peux te faire réserver la chambre de luxe..."

Viens donc t'abandonner dans la luxure petit frère... Je lui lance un regard entendu. Ne pas être moi ne peut pas être un avantage... Sauf pour mon frère...

Je la voie faire son numéro de tendre naïve. D'un côté je me réjouis de la voir se mettre en scène de la sorte. J'ai les moyens pour acheter la moitié de la ville dont son simple etablissement et je me refuse à elle et à toute ses hotesses. Je serais à sa place je pense que je m'étranglerais tout de suite.

Effectivement j'apprécie d'avoir pleinement confiance dans mes collaborateurs. Et oui l'appel de le chair. Chacun ses faiblesses moi c'est la chair et toi ce sont tes comptes.

Elle commence à me caresser le bras. Elle me sors le grand numéro de séduction. Elle use de toute les armes possible sur moi. Mais au fond que je sois l'homme le plus riche de la ville que je ne veuille rien dépenser dans son etablissement doit la faire rager. Mais si elle continue à me titiller de la sorte j'ai beau la connaître je ne suis qu'un homme et au bout du compte je peut difficilement résister.

Charmente attention mon ange. Mais comme je l'ai déjà dis plutôt je me suis déjà ruiné avec la bouteille, je n'ai malhereusement plus rien à t'accorder ou à une de tes employées.

Proposition interessante. Si elle baissait ses prix peut être que je serais tenté après tout. Mais je jouerais son jeux que de m'abandonner à la luxure. Je m'accorde parfois des moments de détente mais ce sont les affaires d'un soire à la rigueur.

Je ris à sa remarque. D'un rire pur et cristalin. Bien sur, je surjoue, mais il me fait vraiment rire. Mes comptes ne sont pas une faiblesse... Mais lui, il a beau être "Greed l'avarice", il n'en reste pas moins un homme. Sous la table, à la vue de tous, le laisse mon pied remonter le long de sa jambe ouvrant un peu plus la fente de ma jupe. Certains me regardent encore et toujours, mais les premiers sous vetements tombent sur scène et les cris emplissent la salle.

"Si tu es ruiné, mon ami, je devrais peut être changer de table... Parce que comme tu le dis si bien, le temps c'est de l'argent et chaque minute que je passe à tes côtés te coupte quelques billets supplémentaires..."

Je dois avouer que je préfère largement être près de lui s'il est ici, mais sa compagnie commence à me porter sur les nerfs... Sous la table, mon pied se dirige lentement vers son entre jambe alors que sur scène notre numero 1 arrive en se déanchant sous les applaudissements des spectateurs.

Je sens nettement son pied qui remonte. C'est agréable mais ça me fais sourire. Elle veut me voire succomber à ses désirs mais j'ai beau être un homme je sais résister à l'appel de la chair comme elle le nomme si bien. Les cris emplissent la salle et me font tourner le regard vers la scène. Les premiers souvêtements sont tombés interessant spectacle. Bien sur aucune d'elles ne vaut ma tendre soeur. Je porte lentement ma coupe à mes lèvres et boit une gorgée de ce succulent champagne.

Si tu es ruiné, mon ami, je devrais peut être changer de table... Parce que comme tu le dis si bien, le temps c'est de l'argent et chaque minute que je passe à tes côtés te coupte quelques billets supplémentaires...

Tu m'abandonnerais pour quelques billets ?

Bien sur si les rôles étaient inversés je l'aurais déjà jetté dehors depuis longtemps. Si elle ne me rapportait rien je ne vois pas pourquoi je continuerais de discutter avec elle. Mais j'apprécie sa compagnie à ma table.

Son pied arrive maintenant à mon entre jambe. Si elle continue comme ça je vais être obligé de partir. Toujours le même problème avec elle, on ne peut avoir une discussion sérieuse sans qu'elle vienne te caresser. Sa numéro 1 est sur scène, c'est vrai qu'elle offre un très bon compromis à elle même.

Mais bon pour le moment elle me distrait et je n'ai rien d'autre à faire. Aussi j'ouvre légèrement ma veste regarde dans la poche intérieur les différentes coupures présentes et en sors la moins grosse. Je plie le billet en deux et le glisse délicatement entre ses seins.

Je pense que ça devrait pouvoir te faire patienter encore quelques temps.

Il lance quelques regards vers la salle puis se tourne à nouveau vers moi. Il sort un billet ridiculement petit et le glisse entre mes seins. Je souris à son geste et prends une gorgée de champagne. Mon pied exerce une petit pression sur son entre jambe et je le fixe, provocatrice:

"Voyons, Greed, tu me prends pour qui ? Ce n'est même pas assez pour que l'une de mes filles te tienne compagnie... Il manque au moins deux zeros sur ton billet."

Mon ton est très calme, très doux. Personne ne pourrait se douter de quoi nous sommes en train de parler. Je retire mon pied et me lève laissant là la bouteille entamée.

"Allez, vient avec moi, allons dans un endoit plus calme..."

Je lui tends ma main. L'endroit où je veux l'emmener, c'est mon bureau. J'ai besoin de lui dire ce que j'ai sur le coeur et il est hors de question de bloquer une chambre pour lui.

Elle exerce une pression sur mon entre jambe avec son pied. Le problème est que ses chaussures légèrement pointues font affreusement mal .

"Voyons, Greed, tu me prends pour qui ? Ce n'est même pas assez pour que l'une de mes filles te tienne compagnie... Il manque au moins deux zeros sur ton billet."

Je lui souris en surface.
Mais en profondeur mon esprit c'est arretter sur les derniers mots. Deux zéros? Mais elle va pas bien! Payer aussi cher, faut pas rêver. Surtout pour passer un peu de temps avec elles. Pour aussi cher la meilleure de mon réseau s'offre à moi pour une vie entière. Mais d'un côté elle s'offrrirait au boss gratuitement, mauvais exemple.
Elle finit par se lever.

"Allez, vient avec moi, allons dans un endoit plus calme..."

J'aqcuiesce et me lève emportant la bouteille avec moi. Gacher autemps d'argent en en perdant la moitié elle rêve. Je prend donc sa main et regarde les yeux envieux de la pluparts des clients. S'ils savaient qui elle était vraiment il me pleindrait plutôt.

Je te suis.

Parfait, je peux enfin le sortir de mon univers, il va arreter de ruiner la soirée. Je passe ma main à son bras et le guide entre les tables vers l'arrière salle. Mes cheveux volent derrière moi, ma robe aussi, dévoilant mes jambes fines et douces à travers la fente. Je souris aux clients qui me regardent.

**Consommez mes amis, consommez, les filles sont là pour ça !**

Nous quittons enfin la salle et je lache aussitôt son bras. Je marche d'un pas rapide. Je sais que n'importe qui passant par là tomberait néanmoins sous mon charme, mais je n'en joue plus. Nous traversons un couloir et arrivons devant mon bureau. J'ouvre la porte et le laisse entrer. Je ferme derrière lui et lui fait face.

"Qu'est-ce que tu es venu faire au Pussy, Greed ?"

Mon ton est presque agressif, sa présence me porte sur les nerfs !

Nous partons de la salle je regarde une dernière fois la <<numéro1>> , quand on aconnu la luxure pendant une dizaine d'année toutes les autres paraissent fades et sans intérêts.

On prend une porte de service, ainsi elle va pas me faire payer de force une chambre si je veux rester. A moins que ce ne soit sa chambre personelle et non pas une des suites de Pussy.
On arrive devant une porte elle l'ouvre et manque de bol c'est son bureau. Dommage sa chambre aurait pu être interessante.
Elle me laisse entrer j'ai à peine le temps de me retourner qu'elle claque la porte et ses yeux me lancent des éclairs.

"Qu'est-ce que tu es venu faire au Pussy, Greed ?"

Je souris je m'allume une cigarette et m'asseois à moitié sur son bureau. Je l'ai toujours mieux appréciés quand elle a son air ennervée, ça fait ressoritr quelque chose de plus que l'habitude.

Je passais dans le quartier et je me suis dis: Tiens si j'allais voir Lust. Ca te vas comme réponse ?

Je la regarde s'ennerver, si je continue elle va se jetter sur moi et m'étrangler. Quoi que relfexion faite c'est le domaine d'Anger, elle se contentera donc de m'insulter au mieux et au pire me forcer à payer une nuit avec elle dans la meilleure suite. Pas que ça me dérange de passer la nuit avec elle, je devrais rapidement oublier que c'est ma soeur. Mais premièrement je tomberais dans son jeux, et surtout ça me couterais horriblement cher.

Il se fout de moi en plus ! Mes yeux lancent des éclairs. Je repousse ragueusement une mèche de cheveux. Je m'avance vers lui d'un pas leste et pose une main sur son torse.

"Non, cette réponse ne me convient pas. Je ne veux pas de ta visite, Greed ! Je préfèrerais te savoir loin d'ici, loin de Gloria... Très loin même ! Vas pourrire les gens allieurs, mais pas dans ma ville, pas sur mon territoire ! Maintenant, Greed, tu te barres !"

Je fais prestement glisser ma main dans sa veste et en sort une liasse de billet. Il fait un mouvement pour me retenir, mais mon regard ne lui en laisse pas le loisir. Très calmement, je sors le prix de son premier verre, de la bouteille de champagne et de la demi-heure de mon temps passée à sa table et je plaque le reste de l'argent contre son torse. Sa main vient récupérer les billets et je lui arrache sa cigarette. Sans aucune hésitation, je l'écrase dans une tasse qui a du contenir du café dans la journée... Il n'est pas le bienvenu chez moi, et je tiens à ce qu'il le sache.

"Non, cette réponse ne me convient pas. Je ne veux pas de ta visite, Greed ! Je préfèrerais te savoir loin d'ici, loin de Gloria... Très loin même ! Vas pourrire les gens allieurs, mais pas dans ma ville, pas sur mon territoire ! Maintenant, Greed, tu te barres !"

Et bla et bla et bla ...toujours la même rengaine, à croire que depuis tous ce temps elle est resté toujours aussi peu évoluée.
Que puis je répondre à tous ceci ?

Fais attention Lust chérie, tu t'ennerve, faudrais pas ce donner plaisir à Anger. Loin de Gloria ne m'iteresse pas comme tu sais que ça ne t'interesse pas non plus. Nos moyens de persuasions ici sont décuplés. Si je pars tu perdra une partie de ta clientèle qui trouvera mieux de dépenser son argent de suite en choses absolument innutiles et qui une fois sans un sous ne pourras que baver devant tes fenêtres. Aussi je suis bien décidé à rester à Gloria et puis avec tous ce que j'ai fais pour cette ville je ne vais pas partir de si tôt.

Je récupère les billets, je les comptes brièvement, je suis sur qu'elle en a trop pris. On ne peut pas faire des tarifs honnêtes à ce prix là. Enfin je les range me relève et la pousse délicatement le temps de m'écarter d'elle, du genre de l'autre côté de son bureau.
J'hésite à me rallumer une cigarette, mais deux à la suite qui auraient à peu près le même résultat serait une dépense.

Et puis c'est vrais qu'elle est beaucoup mieux en colère.

Enfin pour te répondre à ta question de tout à l'heure en fait je m'ennuyais ferme. Aussi dans un grand élan de simpathie je suis venu prendre de tes nouvelles. Je veille sur ta santé et c'est comme ça que tu me remercie ?

Sa remarque me fait rire... Un rire jaune, mais je ris quand même. Je force la colère à refluer. Il le fixe droit dans les yeux. Je suis plus calme mais je veux toujours le voir dehors. De la sympathie, mon oeil !

"Tu t'ennuyais, mon pauvre frère, voilà bien quelque chose qui ne m'arrive jamais... Sauf bien sûr quand je partage ma table avec quelqu'un de trop avare pour se payer une chambre... Tu t'ennuyais... Alors je te renouvelle ma proposition: me ferais-tu gracieusement la compta du mois ? Sans essayer de me voler ou de racheter le Pussy bien évidemment..."

Mon regard se fait pénétrant. Je suis sure qu'on dirait que mes cils s'allongent. Je m'appuie négligement contre la chaise. Quand je pense que n'importe quel autre homme - excepté mes autres frères, bien sûr - seraient à mes pieds. N'importe quelle femme aussi d'ailleurs.

Elle rit à ma remarque. C'est un rire amer mais bon elle rit. Nos regards sont face à face je ne peux que lire la haine et l'aversion qu'elle ressent. Ca me fait sourire de la voir comme ça. Mais au moins elle se calme, je l'aime contrariée mais pas en colère.

Ca ne t'arrive donc jamais, bien sur suis je bête avec toutes les personnes présentes ici tu n'as pas le temps de t'ennuyer tu trouves toujours une occupation. Ce n'est pas être avare que de ne pas vouloir payer pour quelque chose que j'ai déjà simplement savoir faire des économies.

Ta compta ? De plus sans te voler ou racheter le pussy ? T'es sérieuse ?

Quoi que ça pourrait être amusant de voire sa compta, si je voyais ses comptes et son état financier je pourrais racheter tous ses terrains sans problème.

Ca marche j’te fais ta compta je suis sur que je vais encore y trouvés des folles dépenses en choses horriblement chères et inutiles.

[Nous sommes, d'accord, ils sont tous riches, tu vas pas me faire du mal à ma petite Lust dès le premier rp... ^^ *commence à avoir peur*]

Je lui fais un grand sourire et m'écarte de la chaise en l'invitant à s'assoir. Croit-il que je vais le laisser faire sans le surveiller ? Peut-être... Comment expliquer, la compta, je pourrais la faire seule, mais c'est fatiguant et ininterressant au possible. L'avantage, avec Greed, c'est qu'il a des reflexes que je n'ai pas, des habitudes, des "trucs"... Tout ça, c'est pratique. Je sors le dossier et le pose sur la table, attendant qu'il s'installe.

Je le regarde amoureusement... comme s'il pouvait se laisser avoir par ce regard... Mais soyons honete, il est vraiment bien foutu pour un avare. Et très classe en plus. A l'époque où nous nous entendions encore, notre relation était proche de l'inceste... Et je dois admettre que ça ne m'aurait pas déplu... Un sourire reveur se pose sur mon visage à l'évocation de ce passé. C'est tellement loin, c'était tellement agréable...

Secouant la tête - mes cheveux volant dans tous les sens - je chasse cette idée. C'est du passé et maintenant je les vois d'un autre oeil et il est clair qu'ils sont tous plus insupportables les uns que les autres... Pourtant, Greed est devenu un bel homme, quel domage...

Je prends donc place sur son siège. Confortable, je m'enfonce dans le dossier et regarde le dossier de compte qu'elle pose devant moi.
Je fais craquer toutes mes articulations des doigts en m'étirant avant d'ouvrir ses comptes.

Je prends un stylo à coter et le fais tourner entre mes doigts tout en regardant ses dépenses faisant quelques moues suites à certains prix exorbitants.
Ca me fais bizarre mine de rien d'être là à coter d'elle sans m'engueler et sans vouloir l'étrangler de plus. Ca fait un bon moment, enfaite jusqu'avant notre séparation. C'était le bon temps, qu'on soit "ensemble" ne me dérangeais pas. Aucune question de territoire, s'adonner à tous les pêcher en compagnie des autres était agréable. Mais j'avoue que certains moments passés avec lust sont d'un souvenir plus qu'agréables.
Je jette un coup d'œil sur elle, enfin sur ce que je vois assis. Pourquoi faut-il que ce soit lust et ma sœur ? Elle était quand même superbe.

Je me relance dans ses comptes avec une légère pointe de nostalgie. Maintenant il était question de survie et les autres n'avaient aucun respect pour l'argent, dommage ils gâchaient tout, encore et toujours.
Je finis donc de feuilleter son livre de compte avant d'arriver à la page en cours.

Bon ce que je remarque c'est que tu consomme des choses pour des prix incroyables. Par exemple l'esprit de chaleur qui règne partout, c'est bien mais si tu faisais quelques économies en chauffages les clients devraient consommer plus pour se réchauffer. Que ce soit fille ou boisson.
Bref ya plein de petites choses qui pourrait te faire garder ton argent pour le dépenser en des choses plus utiles. Par exemple dans les services de personnes spécialistes dans la baisse des prix des fournisseurs ...

* ...qui se trouvent étrangement à mon service.*

J'écoute son conseil d'une oreille distraite, c'est pas idiot... Mais je ne peux m'empecher de me mefier de lui. Je me penche dans son dos, passant mes mains de chaque côté de ses épaules et pressant ma poitrine contre lui. Puis d'une voix sensuelle, je glisse quelques mots à son oreille:

"Ce dont j'ai besoin, surtout, mon coeur, c'est de finir de remplir ces papiers pour pouvoir imprimer les fiches de paye... Tu sais que tu es un ange de bien vouloir t'en occuper pour moi."

Je pose mes lèvres dans son cou... Sait-il qu'il est bien foutu pour l'un des mes frères ? Il n'est pas aussi maigre qu'il pourrait l'être, il est même un peu musclé... Je laisse mes doigts errer sur son torse... Je crois bien que ce soir j'ai envie de le faire s'abandonner à la Luxure...

Avant que nous nous séparions, le fait qu'il soit mon frère me dérangeais et me refreinait dans mes ardeurs... Mais maintenant, cela n'a plus d'importance. Je le trouvais déjà a mon gout, il me plait encore plus aujourd'hui... Je crois bien que je vais coucher avec lui... Qu'il le veuille ou non...

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