Sloth

Nom : Sloth.

Âge : 23 ans.

Sexe : Féminin !

Clan : Tadia.

Rang : C'est la ouate qu'elle préfère.

Métier : Petit silence surpris ... Travailler ? Enfin je possède l'hotel, ça me raporte de l'argent, ce qu'il faut pour vivre.

Histoire : Je me prénomme Sloth. Je suis née à Weed, une ville située à quelques kilomètres de Gloria, ville autrefois magnifique et prospère, je me dois de le préciser. La vie à Weed était agréable pour ma famille et moi. Les gens étaient très facilement influençables et bien que nous n'ayons été âgés que de cinq ans, il nous était très facile de posséder quelqu'un, même si nous n'avions pas une totale conscience de ce que nous faisions. Toujours est-il que nous n'étions pas aussi développés que nous le sommes aujourd'hui, et c'est sans doute pour cette raison que des imbéciles de la pire espèce ont réussit à nous chasser. Nous avions alors dans les environs de dix ans, je ne me souviens plus exactement.

Enfin bref, après ça nous nous sommes disperser, éparpillé. Séparé. En 1995, je m'en souviens. A cause Pride, evidemment... Avec ses reproches (comme quoi je suis trop fanéante !) et sa perfection....
Moi jalouse ? Totalement, j'ai trop la flemme pour mentir, enfin bon... Mon caractère n'étant pas spécialement adapté à une bonne résistance au critiques et au mots blessants. Comme j'ai pleuré à cause cette époque ! Enfin, passons...

Puis il faut dire que les défauts des autres me sortaient par les trous de nez aussi ! Leurs insuportables défauts... Leurs simple présence devenait un malaise constant pour moi... Notre séparation fut donc logique. Et inévitable.

Je suis donc allée dans d'autres villes. Dans un orphelinat pour jeunes filles plus précisément, evidemment je ne pouvait pas travailler à cette âge là ! (Ni même après d'ailleurs...) Et puis... Que faire d'autre ? C'est ce qui était encore le plus simple, compter sur l'assistance sociale. Et j'ai grandie là, les professeur me reprochaient sans cesse de ne pas travailler à l'école. Mais j'avais tout de même des bonnes notes, alors je me fichait de leurs avis. Trouver un travail plus tard ? Ah ! Comme c'est inutile ! Puis du coté relationnel, ben, je faisait pas l'effort de sortir, tout bêtement, l'adolescence arriva, et je m'en fichait éperdument. Mais, bizarrement, ma passivité, et mon indolence, plaisaient, et pour continuer cette sieste éternelle qu'est la vie dans de bonne condition, je me suis trouvée un copain. Nourrie logée à rien faire. La bonne époque, mais le pauvre malheureux, contaminé par ma paresse constante au bout de quelques années, a quitté son boulot pour me rejoindre dans mon lit de plume et plonger dans le sommeil en ma douce compagnie. Il perdit du coup son usage, apporter l'argent, et je l'ai quitter, après avoir vidée le compte en banque.

Je suis donc allée dans une petite ville appellé Gloria, et j'ai acheté un apartement et un grand lit rond, tout ce dont j'ai besoin en somme. Tout les gens de l'immmeuble, ce n'était pas des petits vieux pourtant, se mettaient à faire de longues siestes, à être très inertes dans leurs vies. Comme moi, ou à cause de moi plutôt....

Le seul travail que je me suis autoriser à faire, c'est de gérer l'hotel, et ça marche plutôt bien. j'influence les gens pour qu'ils ai juste envie de faire une petite sieste chez moi. Cet hotel, je l'aime beaucoup, il est sympa, je l'ai acheter avec l'argent que j'ai volé à mon ex. De plus en plus de gens font la sieste chez moi avec le temps, l'ambiance s'y prète, je sais ce qu'il faut pour détendre et faire dormir. Rassurer.

Sauf qu'après quelques semaines, j'ai découvert pourquoi mon pouvoir avait soudainement reprit de l'ampleur. Nous nous étions tous retrouvés par hasard dans cette ville. Ne nous supportant toujours pas, et refusant de quitter les lieux, nous avons démarré une guerre pour le contrôle de la ville. Chacun utilise ses dons pour convertir les gens à son mal et les habitants de la ville sont divisés sans réellement comprendre pourquoi, se retrouvant tout à coup avec des défauts qu'ils n'avaient jamais eu avant, se retrouvant tout à coup à détester les gens qu'ils aimaient. Voici ce qu'est devenue la belle et plaisible Gloria.


Caractère : Ben... Je suis paresseuse, evidemment déja. Ce que j'aime ? Le repos, le calme. Donc les couleurs pastels, les matières douces, les peluches, les choses mignonnes ... Il suffit de voir mon lit pour comprendre ça, un grand lit rond avec des doudous dessus. Ca me rassure, un nid douillet et familier .... Quelque chose, un endroit, où rien ne peux m'arriver, où l'on ne me feras pas de mal ...

Sinon, je n'aime pas la violence, le sexe, l'alcool, la drogue tout ça.* Le monde qui y est associé est trop vulgaire, trop agressif. Toute ces magouilles ... Je rêve d'un monde paisible ... Une extension de mon lit en fait ... Pensive.

Pour mes traits de caractère en eux même ... Hum, comme c'est épuisant tout ça... Enfin bref, je suis quelqu'un de très calme, naturellement, mais si quelque chose m'énerve ou me fais peur, je peux devenir une autenthique hystérique ! Crier, pleurer, couiner, rien n'est trop fort pour obtenir ce que je veux. Et je veux souvent des chose, oh ! Pas autant que Envy bien sur ! Mais je suis assez capricieuse je dois dire, autant l'avouer. Mais je ne suis pas si difficile, et battre quelqu'un sur le domaine de la volonté est si ... Fatiguant. Autant cédé au lieu de me quereller éternellement.
Mais bon, outre ceci, je ne suis pas aussi cruche que j'en ai l'air, les gens me dise souvent que je suis très intelligente, très lucide. C'est que j'en ai besoin de mon petit cerveau ! Mon air un peu niaise me protège de beaucoup de choses, en effet, comment peut on demander à une jeune fille innocente de porter un meuble trop lourd ? Ceci n'est qu'un exemple, mais ça s'aplique à beaucoup de chose... Mais je ne suis pas assez stupide pour ne pas savoir que ça peut tenter des gens aussi l'innocence ! Mais jusque là, ça ne m'a jamais jouer de tour ... Jusque là. Je ne veux pas qu'on me fasse mal, je ne veux pas que mes très gentils et aimicaux frangins me jouent des tours. Je sais pertinament que le monde ne se limite malheureusement pas à mon lit, et que des choses peuvent m'"arriver". Le pire serait que je sois impuissante et trop faible pour me défendre....

Sinon, à cause de mon indolence je pense, je suis doté d'une sorte d'insensibilité, d'une absence totale de compassion. Faite tout ce que vous vous voulez sous mes yeux, mais s'il vous plaît ne me forcez pas à me lever...

*[Entendez au loin le cri de desespoir du joueur...]

Physique : ... Je suis de petite taille, (Environ un mètre cinquante.) et je fais pas mon âge, j'en ai peur. J'ai l'air très innocente, pas beaucoup de poitrine, peu de hanches. Puis comme je bouge pas beaucoup, je ne suis pas très musclée, et pas du tout ridée... Mais je ne suis pas grosse ! Attention ! Je fais gaffe à ça, je ne suis pas une grosse mangeuse, puis si j'étais grosse, ça me fatiguerais encore plus de devoir faire des efforts de volonté pour maigrir. Enfin bon ... Donc je suis fine. Comme une poupée. Oui ! C'est ça ! Mon corps est intact et ne porte aucune cicatrice, ou bien percing, ou encore tatouage. Mon corps est pur.

J'ai les cheveux auburn très clairs. Ca s'acorde bien à mes vêtement de couleur douces, des robes d'été, des tissus pas trop lourd, (Beurk le cuir !) puis j'aime bien les trucs mignons, comme les fleurs ou les bracelet tout ça. Je n'aime pas ce qui est agressif au yeux, que ça sois la couleur ou la forme. Ou les trucs sombres aussi. Pas assez paisible. J'ai besoin de calme !

Sinon, comme tout les membres de ma famille, j'ai une jolie tête, sans me vanter bien sur, je ne m'appelle pas Pride, les traits de mon visage sont fins et doux chez moi, contrairement à Anger, chez qui ils sont plus agressifs par exemple.
Mes yeux sont verts, un beau vert, je les aime beaucoup mes yeux. Il sont très mignon, j'aime regarder les gens en battant des paupières, ça m'amuse de les voir s'étonner qu'un jeune fille puisse prendre ces grands airs là, enfin je laisse plutot ça à cette très chère Pride ou encore à la gentille Lust... Moi je n'ai pas besoin de ces artifices vulgaires...

En clair, je suis l'archétype de la petite fille mignonne, j'ai des fossettes quand je sourie ! C'est pas une preuve ça ?

Votre parrain : Lust

[HJ : J'ai suprimer des trucs style "autres" ou "perso sur l'avatar", parce que ça ne me servait à rien...]

Touche finale, anecdote :

Je suis dans mon lit, je pense je rêve, je réfléchis.
A quoi ? A tout et à rien...

Soudain, m'interrompant dans ma transe, j'entend un cri dehors, un hurlement de douleur.... J'ai peur, bien sur, mais, tout de même, je vais voir à la fenêtre. Un jeune homme est allongé sur le sol, il souffre, il y a du sang autour de sa tête, ça fait comme une auréole d'ange sur les vieux tableaux, sauf que c'est rouge. Un martyr, on dirai un martyr, les bras en croix ainsi, l'expression de son visage ... Comment est il tomber du ciel cet ange ? je descend les escaliers, je passe dans le hall et je sors dans la rue, (La curiosité peut me me faire bouger, oui...) il est sur le trottoir d'en face. Je cours vers lui. Il gémit, il ne bouge pas beacoup, son teint est livide. Comment est il arriver là ? Je lui touche l'épaule et il me regarde, il a l'air paniqué.

- Appellez ... Docteur ....

Il a les dents qui claquent, mais le docteur, il est loin, et je n'ai pas de téléphone sur moi ... J'essaye de le rassurer en esperant que quelqu'un passe. Je lui demande comment il s'est fait ça, pas une voiture n'est passé depuis depuis un bout de temps.

- J'ai ... Sauter ... Fenêtre ... Voulais voler ...

Pardon ? Je ne comprend pas ? Il voulait voler ? Il a sauter de sa fenêtre pour ça ? Voler ? C'est la douleur qui le fait délirer ou il est tout simplement fou ? Je regarde en l'air, il y a une fenêtre d'ouverte au quatrième étage. Il est con ou quoi ? Je le regarde plus attentivement, ses pupilles sont grandes dilatée, il respire fort, il est complètement paniqué et ça se vois, il sens qu'il vas mourir peut être ? Théoriquement je serais censé courir vers le docteur, ou un hopital quelconque pour tenter de le sauver mais ... La course à pied n'est pas mon fort. J'appelle autour de moi pour voir si quelqu'un est là, personne, normal, les gens bossent à ces heures là, (Ou dorment...) et il n'y a pas de petits vieux à la retraite dans cette rue. Personne pour entendre les cris de ce jeune homme, mise à part moi. Je m'aperçois que j'ai taché ma robe en me penchant vers lui, je m'éloigne de la saletée, par reflexe, mais là il agrippe mon poignet et me regarde droit dans les yeux.

- Je veux pas mourir !

Un glapissement, l'expression de sa peur et de sa douleur. Lache moi ! Je veux m'en aller ! Je ne veux pas voir ça !

- Je ne peut rien faire pour toi, désolé ...

A ma grand horreur, il se met à pleurer, son visage se crispe, il est impuissant, il ne peux rien faire. Il vas mourir bêtement pour avoir voulu monter plus haut et plus vite que les autres.

- Mais ... Appelle un docteur !

Je le regarde, caresse ses cheveux, il a très mal et c'est visible. Ca me dégoute de toucher un presque-cadavre, mais je sais pas, je n'ai pas envie qu'il panique avant de mourir, je ne veux pas assister au spectacle d'un homme qui essaye d'échapper à sa propre mort. Ses hanches forment un drôle d'angle par rapport au reste de son corps, il saine trop de la tête pour que cela sois une simple égratignure, je le sais, il ne verra pas le soleil se coucher ce soir, mais il continue de lutter tout de même, de faire des efforts, de vouloir respirer, encore et encore. L'espoir le maintient, mais son coeur bientôt n'aura plus cette volonté. Je lui répond, en toute franchise, je lui explique pourquoi il mourra ici dans la rue sans personne au lieu de vivre et d'aller à l'hopital.

- Désolé, je peux pas, j'ai la ... Flemme...

Là dessus, son regard me quitte et commence à se perdre, sa main retombe et lache mon poignet. Ses yeux ne regarde rien en particulier, il a l'air ... Stupéfait, surpris. Comment peut on laisser mourir quelqu'un sous ses yeux sans rien dire et sans rien faire ? Mais c'est ça, c'est ça la paresse poussé à sa limite ... Se laisser vivre, puis se laisser mourir, sans rien faire, parce qu'on n'en a pas envie, parce que c'est trop dur. On renonce devant tout les obstacles que l'on nous pose devant les yeux, on renonce. Finalement on ne fais rien et on laisse passer le plus important. Et là il viens de comprendre visiblement, mais je pense que ce principe, il l'a intégré depuis fort longtemps.

- Ah ...

Un exclamation de constatation et de compréhension. Sa tête retombe, ses yeux s'éteignent, ses muscles se détendent, il fait peur, mais il n'a plus mal. Je fais demi-tour et je rentre chez moi, le petit cadavre brisé sera retrouver quelques heures plus tard. Des policiers viendront chez moi m'interroger, mais malheureusement, il ont eu la "flemme" d'insister sur ma version des faits, je dormais, je n'ai rien vu, rien entendu. Ils m'informent que personne ne connais son nom, que ses papiers n'étaient pas dans le taudis ou il créchait. Pauvre bête !

Bien, donc, comme dit sur msn, j'aime beaucoup le rp mais l'histoire est trop courte. Relis toi aussi pour l'orthographe et préviens moi quand c'est fini ^^

Parfait, je valide ta fiche "petite soeur"... Bon jeu ^^