Christian de Boidor, noble déchu

Nom : De Boidor, j'insiste particuliérement sur la particule, je ne tient pas a ce que l'on renit mes origines même si je ne les apprécie pas, elles font partit de moi.

Prénom : Christian, David, Alexandre, j'use du premier mais en réalité je suis née sous le nom de Alexandre, mais je détéste cet empereur.

Surnom : Dans ma famille et seul ceux qui connaissent mon histoire le savent, on ne m'apelle plus par mon prénom mais en temps que "le traitre". Autrement je préfére que l'on me prénomme Christian en entier, sans raccourcis trop simples tels que Chris...

Âge : 19 ans passé, je préfére ne pas donner mon age, les gens on tendance a vous descridité dés que vous étes plus jeune que eux.

Sexe : Je suis un homme.

Clan : Aucun clan, je rejoindrai celui que saura se montrer le plus convaincant.

Rang : ~Noble Anarchiste~

Métier : Je n'exerce aucun métier officiel, mais je suis un artiste et j'adore chanter et jouer de la guitare, la musique me permettant de vivre un minimum. Autrement j'ai divers diplome, un bac littéraire, puis ensuite je venait de finir ma fac de phylosophie lorsque j'ai dut partir de chez moi.

Histoire :

Mes premières années je ne les connait que de la bouches des mes géniteurs, que je me refuse d'appeller parents ils n'en ont pas la valeurs. Je suis née en France dans un petit domaine du massif central, trou pomé dans la montagne, nommé Boidor. Mes ancétres possédés ces terres depuis plusieurs décénies et ceux a qui je doit la vie en été les plus récent propriétaires. Ma génitrice adore a raconter comment je suis née donc je peut vous raconter ma naissance comme si je l'avait vécue de l'extérieurs:

C'était une froide nuit de janvier, la neige était particuliérement présente cette année la, et plus encore en cette nuit. Ma génitrice redoutait de devoir accouché se soir là car la neige rendait les routes totalement impratiquables, mon géniteurs était absent, en déplacement un peu plus bas, une histoire de conseil ou les riches proprios se réunissait pour fumer le cigares dans une pseudo ambiance de salon anglais. Toujours est-il que les peurs étaient fondées. Dans le chateau du domaine seul se trouvait ma génitrice et ma grand mêre, une veille dame sénile dont je n'est aucun souvenirs puisqu'elle est mort peu de temps aprés ma naissance, et ainsi celle qui devait me donnait la vie se retrouvait seul pour accoucher. Ce qu'elle fit raconte-elle. Elle aime a décrire les souffrances, le fait de couper elle même le cordon ombilicale et comment elle m'a fait vivre.

Une belle histoire n'est-il pas ? Sauf que c'est la version donné en public. En réalité je suis née dans une clinique, celle qui m'a fait naitre, ou du moin ma porter tandis que les sages femmes me faisaient naitre, a décidé de se faire anésthésié, et mettre sous césarienne. Bref elle n'a pas soufffert, elle n'a pas été la premiére a me tenir dans ses bras, et de toute facon c'est une chose qu'elle ne fera que rarement.

Les premiers souvenirs qui, m'appartienne sont ceux de ma nounou, une femme douce et gentille que je n'hésiterai pas a qualifier de mére véritable. Elle s'occuper de moi, elle m'a apprit a marcher, a étre propre, bref tout ce que fait une maman. Jamais je n'oublirai ces grand yeux bruns, ces cheveux bouclés et noirs comme la nuit, ses lévres douces qui me faisait de tendres baisé sur mes petites joues...jamais non plus je n'oublirai le soir ou, agé de 8 ans, j'ai vue mon géniteur violer ma nounou dans la salle de repos ou il restait toujours enfermé. Il avait appris a oublier ma présence, mais ce jour la il ne se doutait pas que par l'entrebaillement de la porte j'ai vue comment il l'a frappé au visage avant de la prendre sur son bureaux malgré les gémissement de la pauvre femme que j'aimait tant. Le lendemain elle n'était plus là, ma maternelle a dit qu'elle était partit parcequ'elle me détéstait, sans se douter que je savait, et depuis je ne garde de celle qui fut ma mérede coeur qu'un mouchoir. C'est a partir de se jour aussi que j'ai apprit a détéster le sale alcoolique qu'était mon paternelle et la menteuse qu"était ma génétrice.

A cette même époque arriva sur le domaine un homme qui devait étre mon proffesseur particulier. Il était prétre, royaliste, voir empérialiste. Je me souvient de son visage taillé a la serpe, de ses yeux rougit par le fanatisme, de ses mains tordues et réches qui tant de fois on rougit mes joues. Pendant prés de deux ans j'ai supporté ses cours abjectes, ou la poésie n'était que réligieuse et biblique, ou l'histoire n'était que empereurs et rois oublié et tyranique. Seul les maths réstaient elles même, barbante et soporifiques. Mais un jour, je devait avoir 10 ans ou presque, je devait réciter une lecon sur alexandre le grand, mais je n'avait pas apprit. Hors de lui le prétre m'avait battue avec une longue régles en bois, l'avait brisé sur mon dos. Pourtant je n'est pas versé une larme tandis qu'il se déchainait sur mon corp en resitant des passage biblique. En mon fort intérieur je savait que sa cruauté serai puni, par moi. Résultat: personne ne sut commen cela arriva, mais les freins de la veille deux chevaux de ce salaud lachérent. Au passage, précison que j'était précoce et que j'avait lut un livre sur la mécanique automobile. Le fou furieux royaliste survécue, je ne voulait pas sa mort, mais térrifié, croyant le domaine maudit, il ne revint plus jamais.

Ensuite je fut inscrit au collége. La je devint la cible des plus costaud, j'été le petit noble. Un jour je voulue me défendre, je brisé le poignet d'un éléve. La directrice ne me puni pas, comprenant ma réaction. Ma sa bonté fut contrebalancé par la stupidité crasse de mon géniteur qui me battut et m'enferma dans un cachot du domaine sous prétexte que j'avait salit l'honneur familliale, mais surtout que je lui faisait perdre de l'argent car la famille du gamin bléssé avait porter plainte. Pourtant aprés cela j'acquis le respect des autres éléves et le collége ainsi que le lycée fure plus facile a vivre. Et premiére je réussi même a trouver une petite amie. J'ai eu le malheur de l'ammener manger un soir chez moi, elle avait insisté.

Comme tout les soir mon paternel avait trop bu. Il dragua ouvertement ma copine devant ma génitrice , folle depuis longtemps et qui ne remarqua rien, et il alla jusqu'a lui mettre la main dans des partie honteuse. Elle s'enfuit en m'insultant, mon patenel me forca a changer de lycée.

C'est pendant cette derniére année de lycée que ma vie bascula. Je fit la rencontre d'une fille superbe, brune et frisé, avec des yeux bruns magnifiques. Elle était un peu rebelle, beaucoup même, elle organisé des manifs, elle se prétendait anarchiste. Peu a peu, par amour puis par conviction, je rejoint ses causes. Mon pére détéstait cela, mais il avait veillie et moi au contraire j'avait acquis de l'assurance, ainsi ne dit-il rien, mais son regard trahissait tout. Pourtant lorsque je me rendit chez elle et ne trouvait qu'un tas de cendre et mon pére qui dans un regard me fit comprendre qu'il était responsable, lorsque les pompiers m'annoncére que tout les membres de la familles avait périt, lorsque la police déclara l'accident alors que mon géniteur avait tout du coupable, je sentit la haine m'envahire. J'attendit le soir, le repas, puis je me levait, tapé mon verre comme pour un discours et déclarait:

" pére, j'avait huit ans, je t'est vu violer ma nourrice. Pére, j'avait 16 ans je t'est vue attoucher ma petit amie, j'avait tout les ages et chaques fois je te voyait tromper cette femme que tu prétend la tienne. Pêre, je te hait toi et tout ce que tu représente."

Mes paroles firent l'effet d'une bombe, ma génitrice entra en crise d'hystérie et quand je fit demi tour j'entendit clairement les paroles de mon pére qui me regnier fou de rage et de colére.

J'avait prévue cela et ainsi j'avait prit assez d'argent pour faire ma fac. Je venait de finir celle ci lorque je tombait par hazard sur un journal ou le nom de Boidor attira mon attention:

'la maitresse du domaine assassiné, on recherche le fils en principal suspect, son pére l'accuse d'avoir était violent avec eux, et prétend qu'il aurait tenter de violenter sa mère."

Horrifier je prit aussitot mes affaires et je décider de partir le plus loin possible, échapper a la police francaise, et c'est dans un petit village que je pensait toruver refuge.

Gloria me semble parfait non ?

Caractère :
On peut dire que j'ai un caractére enflammé qui vient de la période ou j'ai commencer a me rebéller. Lorsque je me lance dans quelques choses je suis passioné et je vais jusqu'au bout, mais je ne me lance jamais lorsque le sujet ne m'intérésse pas ou lorsque je suis sur d'échouer. Ils y a bien sur des choses qui me passionent plus que tout, ce sont en vracs la phylosophie, la musique, la photographie et autres art visuelle.

J'ai beau étre anarchiste mes années de chatelains m'on appris les bonnes maniére et je sais parfaitement me tenir en sociéte, j'attache beaucoup d'importance au respect et a la politesse, malgré tout je détéste l'hypocrisie de la hautes société.

Plutot drageurs, enfin charmeurs, malgré mes mauvais aventures amoureuses j'aime a étre au bras d'une belle demoiselle, dans son lit aussi, mais si elle souhaite me garder il faudra qu'elle soit cultivé, je ne suporte pas la bétise mais j'adore les grandes conversation au point que sa en soi lassant pour les autres, mais si on peut supporter mon esprit de contradiction et de discution alors on trouvera en moi un ami fidéle et généreux prés en s'engager profondément pour aider ses amis. Mais je ne suis pas du genre a m'attacher facilement et je me méfie toujours au premier abord, ne jugeant pas sur les apparence, la vie m'ayant prouver que la plus belle facade est parfois pourrie de l'intérieurs.

Malgré mes origine j'ai une vie de bohéme et j'aime marcher et observer la nature, guitare prés de moi, j'adore les publics des rues et je vit de la générosité de ceux ci. Vagabond dans l'ame je m'attache difficilement. Je suis jeune et donc j'aime faire la féte, boire et fumer, pas toujours du tabac. Mais je ne tenterai jamais de convaincre quelqu'un de fumer ou boire. D'ailleur je ne forcerai jamais personne a faire quoi que se soit, j'attache une grande valeur a la libérté. Mais je sais me montrer trés convaincant, je suis un orateur sincére mais hors pair.

Hélas ma vie a aussi créer des paranoia et je me méfie fortement de la haute société et de tout ce qui représente l'ordre et la religion, ainsi que la royauté. Je suis aussi trés rancunier et ceux qui me font du mal je pairons au jour ou l'autre même si ils ne saurons pas forcément que cela vient de moi. Je peut étre manipulateur avec ceux que je considére comme faibles d'esprit et je serais prés a les utilisé discrétement pour arriver a mes fins ou a celles de mes amis.

En résumé je suis un homme libre de tout et n'éspérer pas m'apprivoisé, sa se retournerai contre vous.

Physique :
Oula exercice difficile que de me décrire moi même. Je vais tenter d'étre subjectif même si je n'apprécie pas forcément mon aspect. Je mesure 1m83 pour 65 kilos environ, en effet je ne suis pas gros, au contraire je suis quelqu'un de fin et leste. Mon visage pointue est mangé par mes cheveux bruns que je porte en méches plus ou moin longues, plutot allongé sur l'avant. Mes yeux sont bleux ciel, en amande et les longs cils qui ornent mes paupiére peuvent me donner un allure un peu éfféminé, impression accentuée par la boucle d'oreille que je porte a l'oreille gauche. Mon nez est assez fin et petit, ma bouche qui ne sourit que trop peu est légérement déssiné, comme celle d'un enfant.

Mes bras sont fins et assez musclé, comme mon dos, cela est due a la marche avec mes sacs et ma guitare, mais aussi au sport que j'ai pratiqué au lycée.

Mes jambes maigres son pourtant plus solide que l'on pourrait le crois, je suis un sprinteur assez éfficace, même si je suis loin des athléte, mais lorsque je court vite je m'essoufle facilement.

Bref je suis un garcon fin, légérement éfféminé, mais sportif tout de même.



Signe particulier : Une cicatrice barre mon visage partant de la droite de mon front jusqu'a l'arréte gauche de mon nez, elle m'a été laissé par le prof prétre royaliste.

Autres : Les sports que j'ai pratiqué son l'escrime, j'ai apprit a manier l'épée le sabre et le fleuret, ainsi que la self defence. Ainsi je sais aussi utilisé des batons et suis capable de me battre avec a peu prés n'importe qu'elle objet. Mais ma force brute laissant a désirer je ne suis pas du genre a chercher la bagarre. Mais je sais ou taper et je ne m'en priverai pas pour me défendre.

Personnage sur l'avatar : Squall de final fantasy 8

Demande spéciale :euh, je connai pas le pseudo de mon parrain sur se forum, seulement sur un autre ><

Votre parrain :Maybeth de la ou je vient lol

Touche final:

Je m'assied au bord de la route et sort ma gratte. J'ai bien marcher dix bornes aujourd'hui et le soleil décline doucement a l'horizon, donc je préfére m'arréter. Allumant une cigarette que je glisse dans ma bouche, j'en tire une bouffé, recrache la fumé par mes narines, puis je commence a jouer un morceau, les notes s'élevant dans l'air comme les chants d'oiseau mécaniques.

Au début rien ne bouge dans le village, une éspéce de hameau perdu dans la forét, puis une gosse sort de sa maison et s'approche timidement. Je léve les yeux et, cigarette aux lévres, lui fait un sourire encourageant. Elle s'avance un peu plus alors j'enléve la sucette a cancer de ma bouche et lui demande amicalement

"alors gamine, que veut tu que je te joue ?"

Elle ne me répond pas, rougit brusquement et s'enfuit. Je hausse les épaules et continue de jouer lorsque soudain une poigne puissante me force a me retourner. Par réfléxe je saisit le poignet mais la voix grave du paysan que je suis en train de martirisé me force a arréter

"Ola gamin du calme, j'te veut pas de mal. Juste pour te dire que l'hotel se situe la bas."

Je le lache et m'excuse rapidement. J'ai quand même faillit lui cassé le poignet.

Puis je me dirige vers l'hotel, aprés avoir ranger ma guitare, m'étre excusé un derniére fois, avoir remercier l'habitant.

J'ouvre la porte de l'établissement et je tousse. L'air est chargé de poussiére, les vitres sont crades, le comptoir a sérieusement besoin d'étre ciré. Je tape sur la sonette rouillé qui emet un cliquement faible et je me dit que se son misérable n'attirera personne.

Et je me trompe fortement. UNe superbe jeune femme entre, vétue d'une jupe légére a volant et d'un débardeur qui dévoila discrétement des formes généreuse. La blancheur de cette aparition est en tel contradiction avec les lieux que je reste sans voix.

Elle sourit, semblant habitué a ce genre d'effet, et me demande:

"que puis je pour vous ?"

Allez, on secoue la téte on reprend ces esprit, on se calme un bon coup.

"une chambre."

Avec un sourire charmant, tout brillant de dents blanches, une vraie pub pour dentifrice, elle me tends les clé et de sa voix douce comme une brise elle me lache:

" a se soir."

Quoi ? je n'est encore rien tenter qu'elle souhaite déja passé la nuit avec moi. Préféran m'assurer d'avoir bien compris je demande, le sourcil haussé:

"pardon ?"

"oui, a se soir, pour le repas. Comme vous étes le seul client vous pouvez mangé avec mon mari et moi."

J'acquiesse mais...Merde, elle a un mari !!! J'ai des principe, ne jamais étre a l'origine d'un adultére en fait partit...enfin quand ce n'est que pour une fois.

La soirée est déja entamé et j'ai a peine le temps de posé mes affaire que je suis convié a table. Et la surprise: si la demoiselle est une superbe colombe, le mari est un vieux vautour, chauve, la peau plus ridé qu'un parchemin ancien, les gencive a découvert.Je me dit que couché avec cette fille serait plus une aide qu'un adultére.

Pourtant, si le repas se passe en silence, ils se regardent amoureusement, et je m'emprésse de terminer pour ne pas assister aux ébats de ces droles d'oiseaux.

Pendant la nuit pourtant je sent une douce peau couvrir la mienne et je me dit que la femme a réalisé que son mari est vieux et croulant, moi jeune et fringuant. Mais je remarque que ces mains qui prennent les miennes sont étrangement petites et...Emplie d'un doute soudain j'allume ma lampe et je trouve la gamine de plus tot la, en chemise de nuit, le regard supliant. Abasourdie je ne sais que répondre lorsqu'elle lache:

"je t'aime, tu est si beau."


Sans réfléchir je prend mes affaires et descend les escalier de l'hotel a la va vite, passant devant la chambre du proprio d'ou des grincement et des soupires suspect s'échappe. Dégouter je glisse un billet sous la porte et repart dans la nuit, guitare sur le dos, voulant m'éloigner au pplus vite de se village de fous.

Je suis un vagabond sous le ciel étoilé et la voute celeste, j'ai pour compagne la lune et ses filles.

Sur la route je sort un des livres que j'ai emporte, un recueil d'Hayku. Et c'est lui qui me décide par ou fuire l'europe et ces villages étrange: l'Asie, le Japon, en plus j'ai prit quelques court de japonais avec...non, je ne doit pas penser a elle.

Le lendemain les voyageur asiatique compte dans leur rang un petit européen, Christiant de Boidor. Le surlendemain aux porte du village nommé Gloria accueil un nouvel habitant.

C'est bien c'Est bien :P pour information, le nom de ton parain est *roulement de tambours* Chris :P Bienvenue ici, heureuse de te revoir :P

Je vais te mettre ton rang. ^^ Bon jeu