Wolfgang Von Elea

Nom : Von Elea

Prénom : Wolfgang

Surnom : Wolfy

Âge : 25 ans

Sexe : Masculin

Clan : Boun'nou

Rang : Une ombre

Métier : Inconnu

Histoire : Il y a 25 ans de cela, je suis né dans une famille plus que modeste, sur les terres d'Allemagne. Mes parents possédaient une ferme, et leur revennus étaient bien pauvres, mais en revanche, jamais je ne les ai entendu se pleindre, jamais. De mon coté, je vivais une vie modeste, très modeste, mais heureuse. En même temps, a 3 ans, on ne se soucie guère des problèmes d'argent. Mes parents dans les champs, mes 6 frères et soeur s'occupaient des annimaux, et moi, petit dernier, je restais une charge, un poid mort a nourire, mais encore une fois, personne, personne de ma famille n'a trouvé a redire la dessus. Quand j'aurais 7 ans, l'age de raison, tout comme mes frères et soeurs, tous beaucoup plus agés que moi, j'irais travailler, dans les champs, avec les annimaux, etc...
Notre ferme ne possédait aucun aménagement moderne, beaucoup essayait bien de nous vendre quelques bricoles, mais mon père reffusait tout jusqu'a la simple barate électrique, non, tout était fait a la main. "Ca a toujours été comme ca dans la famille, et ca le sera toujours." Telle était la phrase que mon père s'acharnait a nous répéter, quand nous demandions quelques sous pour par exemple aller à l'école en bus, comme les autres enfants, de plus, notre maison était très reculée du village, il fallait marcher environ une heure, allée, et retour. De temps en temps, mes frères et soeurs étaient déposés par des amis, dont les parents possédaient une voiture, mais cela ne plaisait pas aux parents.
Telle était donc notre vie, ou plutot, la leur, car en fait, je ne suis allé qu'un seul jour à l'école, la petite maternelle, et finalement, quand il a fallut acheter des crayons de couleurs, es cahiers etc... Mes parents ont décidé que la maternelle n'était pas obligatoire, et que je ne la ferais pas.
Aussi, je restais chez moi, guetant la moindre occasion de m'amuser, mais c'était chose bien rare, j'étais seul, tout seul. Plus je grandissais, plus je m'ennuyais, mais tout de même, j'étais heureux, car je n'avais jamais connu une autre vie, et je n'en demandais donc pas plus.
Pour beaucoup, nous vivions comme au "moyen age", a cela, mes parents répondaient que le modernisme pervertissait l'esprit, et que jamais leurs enfants regarderaien comme tant d'autres la télé a longueur de journée. Le fait de travailler comme nous le faisions, servait selon eux a nous occuper de manière saine.
Quand j'ai eu environ 4 ans, la famille s'est encore agrandie, une petite soeur est venue au monde, encore une fois, cela faisait rire, ue famille nombreuse, qui a une exploitation comme la notre, ou tout est fait de manière manuelle... Les moyenageux étaiit le surnom de ma famille... Mais qu'est ce que cela pouvait bien nous faire ? Nous n'avions jamais le moindre contact avec ces gens... Surtout moi, si petit...

Mais toutes ces installations, tout cet aménagement, rien de bien moderne toujours... Le bois, toujours le bois, et bien sur des pierres pour les murs, mais toujours... Toujours trop de bois. Aussi, quand cette bande de jeune, voulant fumer leur herbe en paix, dans un endroit ou personne ne pourait les trouver, ont fait tomber leur alumette... En été, un été sec, et bien toute la vie d'un petit enfant de 5 ans est partie en fumée, dans tout les sens du therme.

On m'a retrouvé dans les décombres, le lendemain matin, je tenais ma petite soeur dans mes bras, et nous étions les seuls survivants. Je ne sais pas ce qui nous a sauvé, mais en tout cas, tout ce que je sais, c'est que ma vie n'a jamais plus été la même depuis ce jour. La seule chose qui resta la même, c'est que moi et Anna, ma soeur, n'avons pas été séparés.

Des policiers nous ont emmenés, on ne savait pas où, nous étions sur la banquette arrière de la voiture, je tenais ma soeur sur mes genoux, elle n'avait qu'un an, et pourtant, elle ne pleurait pas, elle ne pleurait jamais, elle me regardait en souriant. Moi, j'avais peur, ca devait être au mieux la dixième fois que je montais dans une voiture, mes parents m'avaient raconté tellement de choses sur cet engin... Alors j'avais peur, et je serais Anna contre moi, je ne voulais pas la lacher... La voiture avancait, encore et toujours, pendant des heures... Je regardais le paysage défiler au dehors, des larmes silencieuses coulaient doucement sur mes joues. Je ne savais même pas que mes parents, et mes frères et soeurs étaient morts, on ne m'avait rien dit, que peut on dire a un enfant de 5 ans ? Rien, on ne peut pas expliquer la mort a quelqu'un de cet age...

La voiture s'arrete enfin, devant une grille qui est... Immense, je n'ai jamais vu quelque chose qui ressemble a cela. Le conducteur de la voiture qui était sorti, et qui parlait dans une sorte de petite boite près de la grille rentra a nouveau dans la voiture, et la porte s'ouvrit, nous pénétrâmes alors dans la propriété. Nous nous sommes ensuite arretés devant un bâtiment immense, un véritable chateau, comme ce qu'il y avait dans mes livres d'images.
La, le policier ouvrit la portière de la voiture, et avec un grand sourire rassurant, il me fit signe de sortir, et il me tendit les bras, pour prendre ma soeur, mas il n'en était pas question, je ne la lacherais pas. Aussi, je me suis levé, avec Anna dans les bras, et je suis sorti de la voiture, regardant autour de moi. sur le péron de cet immense bâtisse, un homme, et une femme. L'homme avait l'air dur, il portait un costume, avec une belle cravate, j'étais emmerveillé, c'était la première fois que je voyais quelqu'un comme ca en "vrai". La femme elle... Elle était tellement belle, on aurait dit une reine, avec des habits modernes bien sur. Elle avait un sourire rassurant, bien qu'un peu triste, et elle me regardait fixement, ma soeur et moi. Puis, après quelques instants de silence, a nous regarder fixement, ils sont lentement venus vers nous, ont d'abord salué le policier, puis, la femme s'est baissé, et m'a entouré de ses bras.

Ces gens étaient en fait mon oncle et ma tante, des grands de ce pays, je ne les avais jamais vu jusqu'ici, je ne savais même pas qu'ils existaient. Ils se sont bien occupé de nous, de notre éducation, de tout. Notre vie a radicalement changé, ils étaient pour nous de vrais parents, surtout ma tante, elle était aimante, attentionnée...

Ils m'ont tout donné, tout, même leur nom de famille. J'étais ce qu'on appelait un Von maintenant, de Caternaz, j'étais passé a Vos Elea, de simple fils de paysan, j'étais passé a noble, qui dès sont plus jeune age, parcourait les diners de gala, était la colqueluche de tous, tout le monde s'emmerveillait devant ma petite bouille et mes cheveux blonds. Ma soeur était aussi heureuse que moi, elle ne se souvient pas de nos parents, moi si, mais j'ai mis beaucoup de temps a comprendre que plus jamais je ne les reveraais, non, plus jamais... Elle, de son coté, a toujours cru, et croit encore que mon oncle et ma tante sont nos parents, je n'ai jamais eu le courage de lui dire la vérité, je l'aime trop... Ma soeur...
Peut être même un peu trop... quand elle s'est mariée, alors qu'elle n'avait que 16 ans, un mariage arrangé bien sur, je ne l'ai pas supporté, non, je ne l'ai jamais supporté... Ma soeur, c'était ma soeur, elle n'appartenait qu'a moi, et d'ailleurs... Elle m'appartenait complètement, et depuis longtemps. Nous l'avons toujours caché a tout le monde, mais cela faisait longtemps que même son corps m'apartenait...

Aussi, après qu'elle se soit marié, j'avais alors 20 ans, la vie si heureuse que j'avais a un peu changé, je n'étais plus le même, je suis devenu renfermé, n apprence, j'ai toujours l'air aussi heureux, toujours un sourire aux lèvres, jamais triste, mais uniquement en apparences, car en fait, c'est continuellement un conflit interieur en moi même... Ma vie aussi a changé, moi qui était reservé, je me laisse maintenant aller a tout mes désirs, je dépense sans compter, tout les désirs charnels que je ressens sont aussitot satisfait, on ne me résiste pas, enfin, on ne me résiste plus...
J'ai quitté le chateau, je suis parti ou bon me semblait, mon oncle et ma tante ont une fortune concidérable, et je me sers dedans. Je semble toujours tomber de nul part, personne ne me connait...

Un jour, je suis arrivé dans cette ville, Gloria, tout ces conflits ici... Cela m'aide a me dire que mes conflits contre moi même ne sont rien, aussi, cela fait un an que je vis ici, mais c'est toujours la même chose, personne ne sait d'où je peux bien tomber. Je connais la ville comme ma poche, mais elle ne me connait pas...


Caractère : J'ai un carractère très complexe, mais alors... très complexe. en fait, j'ai l'apparence de quelqu'un de très réservé, de toujours heureux, souriant. On peut me faire la pire des insulute, je garderais mon calme, et mon sourire, j'aiderais même celui qui a dit cela a m'enfoncer s'il le faut... C'est l'éducation que j'ai recu, mais interieurement, tout a changé...

Maintenant, je ressens de plus en plus le besoin de combler tout mes désirs, si par exemple, une femme, ou un homme me plait, tout change. Je le veux, je l'aurais, c'est ma nouvelle devise. J'ai toujours eu ce que je voulais, seulement, je ne voulais rien, maintenant, je veux tout, ou presque.

En revanche, quand je suis dans mon état habituel, que je n'ai envie de rien ni de personne, j'en suis presque a être coincé. Toujours poli, très respecteux, je vouvoie tout le monde. Il n'y a que de rares personne que je tutoie, il faut que je les connaisse depuis longtemps, la plus part des gens me vouvoie, pour beaucoup, je ne suis qu'un inconnu parmis tant d'autres, qui ne mérite pas le respect, mais quand certain apprennent mon nom, et qu'ils connaissent ma famille, ils changent radicalement de comportement, c'est pourquoi je cache mon nom...

Physique : Je suis grand, et très mince, je dois faire environ 1m85, pur ce qui est du poid... Je dois avouer que je n'en sais rien, je n'ai pas que ca a faire que de monter sur une balance, pour connaitre mon poid. Je suis juste, très, très mince, pas au poin d'être maigre, mais je ne suis pas musclé ou presque.
Mes cheveux sont mi longs, et blonds, très fin, je les aime beaucoup. Ils sont très clairs, de temps en temps, on arrive même a en croire qu'ls sont blancs, quand l'éclairage le permet. Pourtant, je n'ai pas l'air vieux du tout, je ne sais pas si je fais mes 25 ans, mais en tout cas, je ne fais pas plus.
Mais qui s'en soucie, je passe dans les rues comme une ombre, personne ne me remarque jamais, et c'est très bien comme ca.

Autres : Bah... Il est prévu que je devienne bras droit de Lust

Personnage sur l'avatar : Fye de Tsubasa

Votre parrain : Lust

Touche finale : Je vous demanderais de produire un exemple de rp, qui fera minimum 20 lignes. Merci.

Touche finale : Pourquoi j'étais sorti de lit ce matin ? Je n'en sais rien, c'est chaque fois pareil, tout les jours, je me pose la question, et jamais je ne trouve la réponse. a vrai dire, je ne fais jamais vraiment quelque chose de mes journées, je marche, tout droit, et je lis beaucoup. De temps en temps, un désir s'empare de moi, et la, je mets tout en oeuvre pour réaliser ce désire, ca peut aller du simple Malabar a la fraise, jusqu'a la partie de jambes en l'air avec une personne bien précise. Et jusqu'ici, a ce que je sache, j'ai toujours tout eu.

La, en ce moment, je cherche un banc, juste ca, un banc... Dans cette ville, beaucoup sont cassés, mais je connais un parc, tranquil, plutot joli avec ca, ou la plus part des bancs sont en état. J'avance, je regard vide, je me faufile parmis les passants, personne ne remarque ma présence, je trace mon chemin, silencieux, discret.

J'arrive enfin la ou je voulais aller, j'inspire un grand coup, l'air est frais ce matin, ca fait un bien fou. Tout les bancs sont libres, il faut dire qu'il n'est que neuf heures et demi, les gens dorment a cette heure, sans compter qu'aujourd'hui, c'est dimanche.
Je me pose enfin quelque part, puis, j'ouvre le livre que j'avais dans la main depuis tout a l'heure, une page est marqué par une orchidée séchée. Je la prend délicatement dans mes mains, et je la pose doucement sur mes genoux. Comme si c'était un petit être fragi, qu'il fallait manipuler avec précaution.

Puis, avec un mince sourire aux lèvres, je commence ma lecture. Même le simple fait de tourner une page devient avec moi un geste doux, presque tendre, ce n'est pourtant qu'un livre, mais mes gestes sont toujours si doux, et calmes...

Ma lecture est classique, c'est un livre de goethe. J'aime ce poète et romancier, de plus son nom resemble tellement au mien enfin... sous certains angles. Il a un prénom composé, comportant Wolfgang, et c'est aussi un Von, comme moi. Johann Wolfgang von Goethe. Il a une manière d'écrire tellement... Belle, ses mots chantent.
Je lis ce livre, Les Affinités électives, en version originale bien sur, je suis moi même allemand, et je parle parfaitement cette langue. De plus, même si je parle un nombre de langues assez impressionant, j'ai toujours préféré lire un livre dans la langue dans la quelle son auteur l'a écrit.

Loulouuuuuuu !!
Heu, pardon, Wolfy !!
Mon futur bras droit. J'aime ta fiche même s'il y a quelques fautes de frappe. Tu as envoyé de mot de passe à Chris par MP ?

J'ai bien re^cu le mot de passe, et ta fiche est correcte.

Bienvenue parmi nous, je file te mettre ton rang et ta couleur. ^^