Nom : Cabrol
Prénom : Christian
Surnom : Doc, Toubib ou Chris, pour ceux qui font dans les classiques. Il y a encore Docteur Love, Docteur Fol’ amour… et tous les trucs de ce genre, mais je m’abstiendrai de tous les nommer.
Âge : Je viens tout juste d’entrer dans la trentaine.
Sexe : Je crois qu’on ne peut pas vraiment s’y tromper, mais si vous insistez, je suis un homme, un mâle, un vrai!
Clan : Hein? Quoi? Qu’est-ce? Je n’appartiens à aucun clan.
Rang : Docteur du Cœur
Origines : Mes deux parents étaient d’origine espagnole. C’est ce qui me confère mon allure exotique.
Métier : Je suis chirurgien, docteur… Cardiologue plus exactement. Mais appelez ça comme ça vous dit. Toujours est-il que mon travail me tient à cœur.
Histoire : Feu ma mère a toujours dit qu’un homme devait se montrer poli, aimable et gentleman avec les dames. Elle m’avait aussi dit que faire des études en médecine me confèreraient de nombreux avantages sociaux. Maman avait raison. Elle avait raison à propos de tout. Mais elle s’est trompée quand elle m’a dit que je fonderais une famille unie et solide avant sa mort. Mais c’est après un mariage raté et un enfant égaré avec une ex conquête qu’elle a trépassé.
Ma vie a débuté un dixième jour d’avril. Je ne vous ennuierai pas avec le temps qui accompagna ma naissance – comme si je pouvais m’en souvenir de toute façon. Et je ne vous dirai pas qu’un évènement majeur s’est produit cette journée-là. Pas de scandale. Pas de mort. Pas d’attentat. Ou si ce fut le cas, on ne me l’a jamais rapporté.
Mon enfance et mon adolescence ont été comme un long fleuve tranquille. Je ne suis jamais tombé dans la drogue. Je ne me suis jamais disputé au point de faire pleurer ma mère et je n’avais pas un nombre effarant de connaissances. Je faisais ce que j’avais à faire sans embêter les autres, en me préoccupant de mon avenir qui était déjà tout tracé devant moi. Bien sûr, à partir de 15 ans, j’ai commencé à m’intéresser aux filles. Jamais rien de sérieux, quelques flirts par ci par là. Sous les conseils de ma mère, je traitais les demoiselles comme des reines. Et je ne l’ai jamais regretté. Même après une rupture, aucune fille n’a pu m’en vouloir. Mais je n’ai jamais aimé rompre avec quelqu’un. C’est pourquoi j’évite aujourd’hui de m’engager dans des histoires sérieuses.
À 17 ans, j’entrais au collège, me préparant à de laborieuses études en médecine. Ça passa très rapidement et à dix huit ans, je me suis fiancé à Karen, une jeune blonde qui étudiait elle aussi en sciences. Deux ans plus tard, nous étions mariés, prêts à vivre une vie à deux des plus heureuses. Mais après plusieurs mois, je me suis aperçu que je ne désirais pas passer ma vie avec elle. Elle me parlait d’enfants avec trop d’insistance. Aussi ai-je dit non. J’ai tourné les talons, signé les actes de divorce. J’étais de retour sur le marché du célibat.
Suite à cela vint le vrai défi. Le début de mes études universitaires. Mon père étant mort d’un arrêt cardiaque à mes 19 ans, j’ai décidé de me diriger en cardiologie. Ce département me fascinait et me fascine toujours aujourd’hui. J’ai eu, encore une fois, quelques aventures. Je m’éprenais chaque fois de mes conquêtes, les couvais, les adulais. Mais je finissais toujours par me demander si j’avais vraiment envie de finir mes jours aux côté de ces femmes. La réponse était toujours non. J’ai mit une femme enceinte un jour. Un malencontreux accident. Elle me l’a annoncé, et a disparu dans la nature. J’ignore si elle l’a gardé. J’aime à me dire que quelque part dans le monde, quelqu’un a mes traits.
Finalement, j’ai atteint la trentaine. J’ai voyagé, j’ai vu ce que j’avais à voir. J’ai tout expérimenté. Rien ne m’est inconnu. Mes études sont finies depuis longtemps et l’an dernier, j’ai été affecté dans un hôpital. J’ai vite grimpé les échelons, et je suis maintenant chef de département en cardiologie, et je m’occupe du cœur des gens.
Caractère : Je suis quelqu’un de très posé. Je n’aime pas m’emporter. Bon bien sûr, je dois avouer que mon cœur lui a tendance à s’emballer au moindre battement de cils qui m’est adressé, dès qu’une hanche me frôle, dès qu’une main se pose sur moi ou dès qu’un sourire s’approche du mien. Mais je ne montre que rarement que je suis énervé. Que diraient mes patientes – les patients aussi d’ailleurs – si je devais leur apprendre leur mort de façon paniquée et pas du tout professionnelle? Je me le demande. J’aime par-dessus tout mon métier. On ne peut pas se sentir plus près de quelqu’un que lorsqu’on a son cœur sur la main. Enfin c’est ma façon de voir les choses. Il n’y a rien de plus sublime et honorifique pour moi que de toucher le cœur d’une femme, dans tous les sens du terme. Je suis parfois distrait. Quand j’ai quelque chose en tête – ou quelqu’un – je suis incapable de me le sortir de l’esprit. J’ai l’habitude d’offrir des roses rouges à toutes mes patientes, belles ou laides. Si je me mettais à faire de la discrimination physique, quelle sorte d’homme serai-je? Comme je l’ai dit, je déteste m’engager. Aussi, quand je commence à ressentir d’autre chose que de l’attirance physique pour quelqu’un, j’essaie de prendre mes distances, toujours en douceur. J’ai parfois l’air naïf, ou jeunet, mais je ne suis rien de cela. J’ai un humour fort développé. J’adore faire des jeux de mots portant sur mon travail. J’en sors au minimum dix à chaque jour. Bon parfois ils se répètent mais que voulez-vous?
Physique : Je suis une personne d’assez grande taille. Un mètre 80, grand, mince avec ce qu’il faut de muscles, teint halé par la race et aussi par les voyages dans le sud… Je dois dire que je suis assez bel homme. Je prends soin de moi, mais je ne passe pas des heures à m’habiller. Je suis assez décontracté même si j’essaie d’avoir de la classe. Je ne le fais pas pour moi, mais surtout pour les demoiselles qui viennent me voir. Je ne crois pas qu’elles aient envie de se faire tripoter les intérieurs par n’importe qui. Par rapport à cela justement, je prends un soin tout particulier de mes mains. Elles sont douces, mes ongles toujours coupés pour ne pas accrocher sur quoi que ce soit. Mes yeux sont bleus comme les mers du sud, comme les avaient ma mère. Outres mes mains, ils sont l’une de mes plus grandes fiertés.
Signe particulier : J’ai un air exotique, la peau foncée. On voit tout de suite que j’ai des origines sudistes.
Autres : Un petit fait que vous avez oublié d'inclure ailleurs...
Personnage sur l'avatar : Reno
Demande spéciale : naaaah
Touche finale : ça viendra quand je rentrerai à la maison!